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Ils redoutaient la concurrence des Jeux olympiques et paralympiques, la baisse du pouvoir d’achat, l’indisponibilité de services de sécurité, l’impossibilité de trouver des techniciens ou des bénévoles, l’inflation des cachets et des budgets logement ou transport, mais au final, les organisateurs de festivals et évènements festifs constatent que la réalité a été – globalement- moins pire que redoutée. Globalement, 95 % des programmations ont été maintenues, même si certaines ont dû modifier leurs dates.
« Nous avons réussi à faire comprendre à l’État que nos événements pouvaient se tenir », commente Arnaud Thenoz, président délégué de la Fédération nationale des comités et organisateurs de festivités (FNCOF). « De 10 000 annulations initiales sur 70 000 programmées, nous sommes ...
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