Pour la transition écologique, il faut des éoliennes, des bâtiments rénovés, des trains, etc. mais surtout des banques. « Pour la financer, les besoins ont été estimés par l’ONU au niveau mondial à 6 à 7 000 milliards par an. Seuls les marchés financiers sont capables de fournir un tel besoin » assure Thiebaut Julin, directeur financier et membre du directoire de l’Agence France Locale (AFL), qui organisait ce 20 juin sa 7e journée Finances, à Paris.
Le secrétaire général à la planification écologique, auprès du Premier Ministre, Antoine Pellion, venu ouvrir les débats, a ramené cette masse à l’échelle française, à près de 60 milliards d’euros par an : « C’est massif, mais les efforts sont portés aux trois-quarts par les grands corps privés ou publics et le dernier quart par les ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Thèmes abordés