Fin 2015, le ministère de la Transition écologique avait retenu Dolus-d’Oléron (3 200 hab., Charente-Maritime) dans l’appel à projets national « littoral 2070 ». Son but était d’amorcer un changement de culture et d’imaginer différentes manières d’habiter. « On s’est aperçu que la zone rouge, tempête “Xynthia + 50 centimètres”, correspondait exactement à l’urbanisation des années post-70, soit environ 500 maisons », se souvient Grégory Gendre, le maire écologiste de la commune à l’époque.
Les propriétaires de ces habitations, secondaires à plus de 70 %, se sont alors constitués en association afin de défendre leurs biens. « Beaucoup de ces résidents secondaires se sont aussi inscrits sur les listes électorales », se souvient l’ex-élu, balayé aux municipales ...
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Gazette des Communes
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