« Les transitions auxquelles nous sommes confrontés – transitions numérique, écologique – et qui sont violentes pour de très nombreux citoyens, nécessitent plus de services publics. Or, la puissance publique seule ne peut pas relever tous les défis. » C’est avec ce constat que Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, est venu apporter son soutien à l’initiative menée par l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) qui a organisé, ce 17 janvier à Paris, une journée de travail autour des géocommuns numériques.
Utilité publique
Par « communs », l’IGN s’est arrêté sur une définition incluant « toute ressource produite et/ou entretenue collectivement par une communauté d’acteurs hétérogènes, et gouvernée par des règles qui lui assurent un caractère collectif et partagé ». Quant aux communs numériques, il s’agira d’un logiciel, d’une base de données, d’une plateforme ou encore d’un code, l’exemple le plus parlant étant Wikipedia, cette encyclopédie en ligne participative sur laquelle chacun peut venir ajouter sa pierre. Enfin, les géocommuns regroupent l’ensemble de la donnée géolocalisée dont l’usage pourra être d’utilité publique.
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Gazette des Communes
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