3,5 à 6,5 jours d’absence autorisés chaque année, au-delà des congés réglementaires. Voilà comment le conseil départemental des Bouches-du-Rhône perdait 203 ETP par an (9,9 millions d’euros), sur un total de 7 891, selon le calcul de la Chambre régionale des comptes de Provence-Alpes-Côte d’Azur. Dans un rapport publié le 21 octobre, les juges tiquent sur ces « autorisations d’absence » accordées à l’ensemble du personnel, hors ceux employés des collèges.
En 2020, par exemple, les agents départementaux ont bénéficié de cinq jours de congé à date fixe, au-delà de la règle, en plus d’une demi-journée « mobile ». Ces absences s’ajoutaient aux deux jours supplémentaires de congés annuels dont ils bénéficiaient (27 jours au lieu de 25). « La durée annuelle de travail s’élève ainsi au mieux en ...
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