«Je pense que l’on va traverser un Ă©tĂ© terrible ! » ÂOlivier ÂRichefou, prĂ©sident (UDI) du conseil dĂ©partemental de la Mayenne et de la ConfĂ©rence nationale des services d’incendie et de secours, redoute les consĂ©quences de la crise des urgences, minĂ©e par la pĂ©nurie de mĂ©decins et de personnel infirmier. A l’approche des vacances, sur les 690 services, environ 80 fonctionnent dĂ©jĂ en mode dĂ©gradĂ© et ferment partiellement la nuit ou totalement.
Beaucoup d’autres pourraient suivre. « Nous estimons que plus de la moitiĂ© connaĂ®t des problèmes d’effectifs, prĂ©vient le docteur Patrick Pelloux, prĂ©sident de l’AssoÂciation des mĂ©decins urgentistes de France. On est sur le fil : il suffit qu’un mĂ©decin tombe malade ou qu’il manque deux infirmières pour que la structure soit obligĂ©e de suspendre ...
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