Le cinéma estival en plein air, c’est sympa, convivial, avec la culture en toile de fond. Voilà pour le décor habituel. Mais la crise sanitaire, qui a contraint à la fermeture des salles obscures pendant dix mois, en 2020 et 2021, a sérieusement noirci le tableau. Avec un chiffre d’affaires en baisse de 65 à 80 %, les exploitants de salles du 7ème art sentent perler des sueurs froides à toute perspective de concurrence. Antériorité ou pas de l’animation, aucune autorisation ne se révèle être, cette année, une simple formalité.
« Refus d’autorisation » de programmer des films en plein air
Lancée avec trois séances en 2010 à La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine, 30000 hab.), l’opération « Cinés d’été » s’est progressivement étoffée et comptait en proposer neuf, cette année. À la tombée de la ...
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