Un objectif : le respect de la « règle d’or » du déficit structurel
La crise de la dette souveraine, engendrée par la faillite de la banque d’affaires Lehman Brothers il y a dix ans, s’est accompagnée d’un relâchement de la discipline budgétaire des État membres de l’Union économique et monétaire (UEM). Beaucoup d’entre eux n’ont plus été en mesure de respecter les ratios du pacte de stabilité et de croissance (déficit inférieur à 3 % du PIB et dette inférieure à 60 % du PIB). La France elle-même s’est retrouvée en situation de déficit excessif de 2009 à 2017.
Dans ce contexte, le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) au sein de l’UEM, entré en vigueur le 1er janvier 2013, a procédé à une refondation du ...
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