Les dépenses de fonctionnement s’élèvent à 52,9 millions d’euros (- 0,2%) où les frais de personnel (30,52 millions d’euros) représentent le poste le plus important, soit 51% de la section de fonctionnement, autofinancement inclus.
La masse salariale augmente de 3% pour répondre aux hausses statutaires et aux mesures prises par la ville en faveur des agents.
Les charges à caractère général s’inscrivent à 11,65 millions d’euros (+1,3%) et les subventions à 7,34 millions.
Les recettes de fonctionnement représentent 59,78 millions d’euros dont 39,6 millions (+3,5%) en provenance de la fiscalité : 21,7 millions de fiscalité directe (+ 4%, dont 1% de taux d’imposition), 14,6 millions (+ 1,1%) des dotations de la communauté d’agglomération et 3,3 millions des autres impôts/taxes.
L’autre grande ressource est constituée par les dotations de l’Etat, soit 15,5 millions d’euros, quasiment stables (+ 7811 euros).
+ 13,9% pour les dépenses d’investissement – Les dépenses d’investissement s’inscrivent à 9,3 millions d’euros (+ 13,9%), « un niveau raisonnable et compatibles avec les capacités de la ville », estime l’exécutif.
La ville prévoit également 1,18 million d’euros de subventions d’équipement.
Parmi les principaux chantiers : les travaux d’éclairage public, les rénovations/économies d’énergie sur le patrimoine et le pôle petite enfance.
A noter: le remboursement d’emprunt pour 5,47 millions d’euros.
Les recettes d’investissement s’élèvent à 16,01 millions d’euros dont un montant d’emprunt évalué à 5,1 millions d’euros et un autofinancement à 6,83 millions d’euros, en hausse de + 39,6%.
– 10,93% pour le capital de la dette – En outre, le capital de la dette s’établit à 46,58 millions d’euros, soit une diminution de 10,93% qui conforte le désendettement engagé en 2009.
« La situation financière améliorée laisse apparaître un autofinancement qui permet de rembourser l’intégralité du capital de la dette », indique l’exécutif, cependant inquiet d’un éventuel effet de ciseau d’ici à 2014.
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