Après trois jours d’effervescence créatrice, les équipes qui ont investi les musées participants vont, comme après chaque édition, mettre les prototypes qu’ils ont créés dans le pot commun sous licence libre.
Vous avez encore jusqu’au 3 décembre pour découvrir les 5 protos #Museomix issus des 3 jours de cogitation intense et leurs 15kg de bonbons et 60L de café 🍬☕️https://t.co/08RCf9zBZj pic.twitter.com/hmj8ZUTqVY
— écomusée avesnois (@EcomuseAvesnois) 14 novembre 2017
« L’événement fonctionne comme un agitateur, qui fait progresser le dialogue qu’entretient le musée avec son environnement, précise son président Fabrice Denise, président de Muséomix. La vigueur du réseau tient à l’entrecroisement entre acteurs publics et privés, universités, écoles d’ingénieurs, fablabs etc. Le musée doit aussi être politiquement et intellectuellement présent pour lever des fonds et chercher des compétences. Nous attendons des élus locaux qu’ils soient des facilitateurs et qu’ils favorisent la reconnaissance que la société civile est bienvenue au musée.
@museomix => https://t.co/ewpSHF3hzL un phénomène qui prend de l’ampleur => +de 1000 participants chaque année, dans + d’une dizaine de pays.#EntreprendreCulture — Arald (@arald_fr) 20 novembre 2017
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