Plus d’un milliard d’euros et près de 5 300 emplois : le rugby professionnel français génère d’importantes retombées économique au niveau national. Mais après que la Fédération française de rugby (FFR) a renoncé à se doter de son propre stade, l’Essonne n’en tirera pas les bénéfices qu’elle pouvait en attendre.
Le volte-face de la FFR
C’est en effet l’agglomération Grand Paris Sud et les communes de Ris-Orangis et Bondoufle qui avaient emporté en 2012, face à 11 candidats (dont Orly-Thiais), l’appel d’offre territorial lancé par la FFR pour sélectionner le site de son projet de grand stade dédié au rugby. Rien ne laissait alors supposer que ce projet à 580 millions d’euros sur 15 hectares serait finalement abandonné fin 2016 après l’élection de Bernard ...
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