Fermer

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

Menu

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

Culture

Quel avenir pour l’école des beaux-arts de Cherbourg ?

Publié le 09/04/2009 • Par Géraldine Lebourgeois • dans : Régions

Si la ministre de la Culture Christine Albanel a confirmé son soutien aux coopérations entre écoles régionales et leurs regroupements autour de projets d'établissement, bien des questions se posent dans le cadre de la réforme des écoles supérieures des beaux-arts.

Ma Gazette

Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée

L’issue pourrait être fatale à l’école des beaux-arts de Cherbourg-Octeville (50), école territoriale, la plus petite de France avec une trentaine d’étudiants et un budget annuel de 800.000 euros. Elèves et personnels font circuler une pétition contre sa fermeture.

La réforme induit notamment l’adoption du système LMD (licence master doctorat) et suppose l’autonomie juridique, pédagogique et budgétaire des établissements. Les écoles d’art vont devoir mettre en place un troisième cycle doctorant et leurs enseignants, obtenir le statut d’enseignants-chercheurs.
Pour Jean-Charles Agboton-Jumeau, directeur de l’école supérieure des Beaux-Arts de Cherbourg, «si ce dernier est acquis pour les enseignants des écoles d’art nationales, ce n’est pas le cas des 47 écoles territoriales qui délivrent pourtant les mêmes enseignements et diplômes. Or, sur les modalités de la mise en place d’un troisième cycle, du changement de statut des enseignants territoriaux ainsi que du financement des surcoûts (+ 20%) générés par ces nouvelles dispositions, la délégation aux arts plastiques brille jusqu’ici par un mutisme dont maintes réunions n’auront qu’accusé le caractère dilatoire.»

Autonomie pédagogique
Pour l’instant, les directeurs des écoles territoriales étudient la préconisation ministérielle de se constituer en établissement public de coopération culturelle (EPCC). Mais cette réponse à l’autonomie administrative ne résout pas la question de l’autonomie pédagogique des écoles, ni celle du transfert des personnels fonctionnaires.
L’Etat a également préconisé d’atteindre une taille critique de 250 élèves par EPCC. A Cherbourg, le député-maire Bernard Cazeneuve a cependant autorisé le recrutement d’étudiants pour la rentrée prochaine, qui seront informés de la situation et du risque de devoir intégrer une autre école en cours de cursus. L’école des beaux-arts est gérée par la ville, également confrontée à la mise aux normes des bâtiments qui accueillent étudiants et grand public, pour des ateliers et des expositions.

Régions

shadow
marche online

Aujourd'hui sur les clubs experts gazette

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

Quel avenir pour l’école des beaux-arts de Cherbourg ?

Votre e-mail ne sera pas publié

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement