Dans son discours d’inauguration de la LGV Paris-Rennes, samedi 1er juillet, Emmanuel Macron a indiqué qu’en matière de transport, il comptait « marquer une pause pour redéfinir les priorités », s’engager pour les « transports du quotidien » mais aussi ne pas souhaiter « un aéroport dans chaque chef-lieu de canton ».
Là-dessus, les opposants au financement public de l’aéroport régional de Dole-Jura le rejoignent. Réunis dans un collectif baptisé « Dole-Tavaux l’aéroport de trop », ils sont « atterrés » de l’engagement voté vendredi 30 juin par la Région Bourgogne-Franche-Comté afin de participer au financement de « cette structure déficitaire qui fonctionne à 75% à travers des subventions », indique Pascal Blain, l’un de ses porte-paroles.
Le choix d’un maillage fin
A l’issue d’une ...
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