Dans ce département rural, sur les 485 interruptions volontaires de grossesse (IVG) pratiquées en 2015, 52 % ont été réalisées à l’hôpital, sous anesthésie générale. Seulement 48 % des IVG se sont déroulées par voie médicamenteuse, quand ce taux, en France, atteint 54 %. Principale raison : les médecins généralistes sont peu nombreux à pratiquer l’IVG médicamenteuse et, lorsqu’ils invitent leurs patientes à se rendre à l’hôpital, ils les laissent souvent « dans la nature, avec des indications vagues », explique Delphine Fleury, vice-présidente du conseil départemental.
Qui appeler ? Comment obtenir un rendez-vous rapidement ? « Les obstacles sont nombreux, alors que, pour accéder à une IVG médicamenteuse, les femmes enceintes doivent être prises en charge avant cinq semaines de grossesse ...
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