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Sécurité civile

Michèle Alliot-Marie reste prudente sur l’avenir des services départementaux d’incendie et de secours

Publié le 09/06/2009 • Par Raphaël Richard • dans : France

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Auditionnée le 9 juin par la mission d’évaluation et de contrôle de l’Assemblée sur les services départementaux d’incendie et de secours (Sdis), la ministre de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie ne s’est quasiment pas prononcée sur la position du gouvernement en la matière.

«Après s’être retranchée derrière la loi en début d’audition, la ministre a commencé à répondre à nos questions à la fin de notre entretien», a réagit le député PS Bernard Derosier, co-rapporteur de la mission, qui l’a même soupçonné au cours de la discussion de pratiquer «la langue de bois».
A la fin de la réunion, Michèle Alliot-Marie a tout de même exprimé un avis positif sur l’idée d’indiquer sur les feuilles d’impôts locaux le coût des Sdis. Une «fiscalisation» qui «peut permettre de responsabiliser les Français», a-t-elle considéré.
Le coût de ces services s’élèverait à 80 euros par habitant et par an, avait précédemment précisé le député UMP George Ginesta, également co-rapporteur de la mission d’évaluation et de contrôle.

Autre point sur lequel la ministre s’est prononcée : le problème des missions «médicales» des Sdis dans les «déserts médicaux». Les sapeurs pompiers assureraient de plus en plus de soins dans les secteurs manquant de médecins de ville ou d’hôpitaux, une compétence qui n’est en principe pas directement de leur ressort.
Michèle Alliot-Marie a affirmé que ses services réfléchissaient actuellement au développement d’un véritable service public, assuré par les Sdis, en la matière. Avant de rappeler que des éventuelles compensations financières étaient possibles entre les services en charge des soins et les Sdis.

Durées des gardes
Au sujet de l’inflation du coût de ces services à la suite de leur départementalisation, de leur gouvernance, de l’augmentation des personnels et de l’organisation des heures de garde, la ministre a argué de l’incompétence de l’Etat sur ces sujets pour se prononcer. Elle s’est contentée de rappeler quelques chiffres et des généralités, sans entrer dans le fond du débat.
Par exemple, en réaction à la proposition de George Ginesta de passer de gardes de 24h à des gardes de 8h, elle a renvoyé ce choix aux directeurs des Sdis avant de s’interroger sur la réalité des économies que pourraient entraîner un tel changement.

Michèle Alliot-Marie était la dernière personne auditionnée par la mission d’évaluation et de contrôle qui devrait rendre son rapport dans la première quinzaine de juillet.

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