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Réforme des collectivités

Les présidents de région adressent un ultimatum au gouvernement

Publié le 26/03/2010 • Par Jean-Baptiste Forray • dans : France

« Le gouvernement voulait faire de l’élection régionale un référendum sur la réforme des collectivités locales. Ce référendum, ce sont les régions qui l’ont gagné ! », savourent, dans une déclaration commune, 20 des 21 présidents de régions de gauche réélus, ce 26 mars, à la tête de leur assemblée.

Dans ce texte auquel Georges Frêche (DVG, Languedoc-Roussillon) n’a pas été associé, ils demandent au gouvernement de « renoncer immédiatement au projet de réforme des collectivités locales qu’il veut faire adopter à marche forcée au Parlement ».

Les contrats de projets dans le viseur

Tous exigent aussi le retrait du texte sur le Grand Paris. Les « vingt » réclament, « au plus vite », la renégociation des contrats de projets 2007-2013 « dans chacune des régions ». Une requête qu’ils fondent à la fois sur la perte de leur autonomie fiscale et la crise financière et sociale.

« L’arrivée en fin de droit d’un million de chômeurs nécessite une nouvelle coordination entre l’Etat et les régions », tranchent-ils. « Faute d’obtenir satisfaction », les 20 présidents « n’auront d’autre choix que de remettre en cause certains de leurs engagements envers d’Etat ».

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Les présidents de région adressent un ultimatum au gouvernement

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ALIMAS

27/03/2010 08h39

COMMENTAIRE (09A016A01). L’ÉTAT EST AUJOURD’HUI EN 2010, DANS LA SITUATION DES ENTREPRISES PRIVÉES D’IL Y A 40 ANS. L’accumulation des retards de modernisation des administrations et des réformes structurelles, le place aujourd’hui face aux urgences, à la polyvalence des personnes, à la mutualisation des ressources devenues incontournables, conséquences des évolutions techniques, technologiques, bureautiques, informatiques, numériques, méthodologiques. Si l’État et les administrations centrales, territoriales et hospitalières ne se réforment pas maintenant et de façon drastique (en particulier par la réduction du nombre de fonctionnaires et strates politiques et administratifs), ce sont les pressions économiques, sociales et environnementales (mondialisation, déficit budgétaire, dette publique, etc. …), qui les obligeront dans l’urgence et la douleur, à opérer les mutations structurelles, les réformes des statuts des fonctionnaires et régimes des entreprises publiques pour changements, déplacements, groupements, répartition, mutualisations des ressources, réduction du nombre des fonctionnaires, réduction des dépenses, etc. …

COMMENTAIRE (09A016A02). RÉFORME : NATIONALE, RÉGIONALE, DÉPARTEMENTALE, COMMUNALE, INTERCOMMUNALE. Trop de strates ! La France doit se réformer. 26 régions, 101 départements (avec Mayotte), 36.677 communes, 2.588 communautés de communes et (EPCI) : Établissement Public de Coopération Intercommunale ! Constituée, gouvernée et gérée en entités et communautés territoriales plus ou moins autonomes, la centralisation des pouvoirs et son contraire, la décentralisation, ont généré un foisonnement d’équipements, de frais de fonctionnement, de frais de personnel fonctionnaires et salariés du public, créant une dette publique abyssale. Il est aujourd’hui vital, pour sauvegarder nos institutions, de réduire considérablement et durablement les structures, le nombre de fonctionnaires et le niveau des dépenses publiques. Pour cela, des réformes structurelles et conjoncturelles de grande ampleur doivent être engagées et menées à leur terme. L’avenir et le bien être de nos enfants en dépendent.

COMMENTAIRE (09A016A03). SI VOUS DEMANDEZ À LA DINDE DE FAIRE LE MENU DE NOËL, ELLE NE VA PAS ÊTRE ENTHOUSIASTE ! L’absurdité des réformes publiques, c’est qu’elles soient pilotées par ceux-là mêmes qui les ont orientées, perverties et corrompues à leurs profits. Les fonctionnaires se retranchent derrière leurs «pré carré». Ils ne veulent pas que l’on touche aux privilèges des milliers d’emplois statutaires de la fonction publique, devenus aujourd’hui inéquitables, routiniers, répétitifs, doublons, triplons, etc. … et budgétivores. Il est urgent de construire de nouvelles fondations ou les droits, devoirs et compétences de chacun puissent contribuer au bonheur du plus grand nombre.

COMMENTAIRE (09A016A04). LES GROUPES DE PRESSION S’ISOLENT DANS LEURS SPHÈRES ET PRÉS CARRÉS. Les antagonismes sont tels que chacun ne faisant plus ce qu’il doit, ne parlent pas des privilèges, avantages et indemnités qu’ils perçoivent. Ils craignent d’être accusés d’impéritie, de dysfonctionnements et de carences ne justifiant pas leurs situations budgétivores. Ils s’interdisent ou on leur interdit de prendre part aux changements, réformes et mutations, qu’ils seraient indispensables de faire. Vouloir maintenir sous perfusion des institutions moribondes, c’est retarder l’explosion ou l’implosion qui ne manquera pas d’être provoquée par les mécontents.

jane

29/03/2010 12h32

Bonjour,
Je pense qu’une réforme profonde est nécessaire mais pas dans les conditions dans lesquelles le gouvernement la met en place. On ne peut pas considérer que le non remplacement d’un infirmier aura le même impact que le non remplacement d’un instituteur ou de celui d’une secrétaire. Le monde de la fonction publique est un monde à part, peu connu du grand public où la règle du recrutement est celle du concours. En 10 ans d’activité, j’ai passé deux concours pour obtenir une revalorisation de salaire : 50 reçus pour 3000 candidats sans limitation de diplôme. Le tout pour toucher autant qu’une boulangère débutante. C’est un choix de vie qui comporte un certain nombre de sacrifices. Arrêtons d’opposer le public et le privé et de niveler la société par le bas.

vincinette

27/03/2010 08h43

cest tres bien et légitime on sent bien qu il y a une arriere pensée maintenant que l on connait ceux qui nous gouvernent!

Chérel Paul

27/03/2010 09h53

A première vue, on pourrait donner raison à l’arrogance des élus de gauche, notamment en ce qui concerne l’insolence du projet de « Grand Paris », mais là où l’on reconnaît l’indigence d’esprit socialo/communiste, c’est qu’ils voudraient que les régions s’occupent avant tout de questions sociales, donc avec dépenses publiques à la clé, et remettent en question les projets d’investissement qu’ils ont pourtant signés – car ce sont pratiquement les mêmes qui sont réélus – dans le cadre des contrats de plan. C’est au moment de cette signature qu’ils auraient dû manifester un peu d’indépendance. Paul Chérel

Salvador

29/03/2010 10h58

Taper sur les fonctionnaires, c’est facile, et dans la droite ligne de l’UMP et de notre président.
1 – Les fonctionnaires sont loin d’être tous des nantis. Si l’on excepte le monde enseignant, on a une majorité de catégorie C qui, sur l’intégralité de leur carrière, ne s’éloignent guère du SMIC
2 – Si les fonctionnaires ne servent à rien : en ce cas, il faut les supprimer de toute urgence et je pense que cela aurait été fait depuis longtemps. Si ça n’est pas le cas c’est qu’on veut tout simplement privatiser leurs fonctions pour le plus grand bénéfice de quelques gros trusts, mais absolument pas celui du contribuable.
Il faut casser le statut, casser le droit du travailleur en général.
Si l’on parle de 90 000 € d’argent de poche par mois, ne cherchez pas parmi les fonctionnaires, mais regardez plutôt certains grand patrons du privé ou certains dirigeants politiques.
Nous avons besoin de plus de justice sociale, de moins d’écart de revenus entre les trop pauvres et les trop riches entre les travailleurs smicards et certains patrons qui touchent plus dans une année, voire dans un mois qu’un travailleur dans toute une vie.
Nous avons besoin d’un travail équilibré où l’on rende aux travailleurs le plaisir de travailler, sans la pression, le stress, le mépris accordé aux travailleurs quand tant de chômeurs attendent de pouvoir travailler,
que l’on permette aux travailleurs qui travaillent depuis plus de 40 ans (quel que soit leur âge) de bénéficier d’une retraite cohérente et de laisser la place aux jeunes et aux chômeurs.
Si je ne fais pas forcément toute confiance aux politiciens de gauche, je ne le fais pas du tout à ceux de droite pour orienter notre société vers un monde plus juste et plus humain.

jean claude

29/03/2010 11h39

regardez le nombre de fonctionnaire en pourcentage dans l’europe nous avons la medaille d’or.
Les patrons touchent des sommes folles, vous, non, mais combien d’emplois avez-vous créé dans votre vie ?
Mal payés les fonctionnaires ? alors il faut monsieur vous donner les memes salaires que dans le privé avec les memes durées et années de travail et la meme retraite que dans le privé je suis certain que vous allez refuser et pourquoi ?

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