Le projet de loi de finances (PLF) pour 2015, voté le jour même de la journée d’actualité du Club Finances à Marseille, comporte une trentaine d’articles qu’Alain Guengant, directeur de recherche honoraire du CNRS, a décrypté et analysé durant une heure devant le public marseillais.
Malgré la baisse de 3,67 milliards d’euros de baisse des dotations de l’Etat et quelques effets de contre-péréquation, notamment par le biais des évolutions des DSU et DSR cibles, ce PLF pourrait ne pas avoir les effets dévastateurs sur l’investissement tant craints et annoncés par les associations d’élus, selon Alain Guengant.
Un impact sur l’épargne brute et le désendettement – Cela ne veut pas dire pour autant qu’il sera sans conséquence sur les équilibres financiers des collectivités, comme l’a montré Stéphane Masse, associé au sein du cabinet de consultants FCL Gérer la cité, notamment sur le niveau d’épargne brute et la capacité de désendettement du bloc communal et particulièrement ...
[60% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Cet article fait partie du Compte-rendu
PLF 2015 : quel impact pour les collectivités du grand Sud ?
1 / 4
article suivantSommaire du dossier
- PLF 2015 : quels impacts financiers pour les collectivités du grand Sud ?
- PLF 2015 : les dispositions relatives aux collectivités
- PLF 2015 : une onde de choc pour les collectivités
- PLF 2015 : la fonction finance dans un univers contraint
Thèmes abordés