Dépenses
Les dépenses de fonctionnement sont encore orientées à la hausse (152,8 millions d’euros contre 144 millions d’euros en 2009), avec notamment 25 millions de charges à caractère général (contre 21,7 millions d’euros en 2009) et 15 millions de charges de personnel (+ 3,69%) à la suite notamment de quelques créations de postes.
Le budget d’investissement poursuit également sa progression (69,03 millions contre 65,14 en 2009).
Les grandes priorités de Tour(s)plus sont maintenues : développement économique (9 millions), infrastructures (7,8 millions), l’habitat (5,9 millions) et autant pour les opérations de rénovation urbaine (5,4 millions), équipements sportifs (5,2 millions).
L’agglomération va également consacrer une enveloppe de 10 millions d’euros à son projet de tramway qui deviendra réalité en 2013.
Recettes
Malgré « les incertitudes de conjoncture », les recettes de Tour(s)plus « préservent l’essentiel » à 152 millions (+5,46%).
Les recettes de TPU restent bien orientées (78,4 millions contre 76,3 millions) tout comme la taxe séjour (800.000 euros contre 500 000), la taxe d’ordures ménagères (26 millions contre 24 millions). L’inquiétude principale porte sur le niveau de la DGF qui ne connaîtra aucune progression (38,7 millions).
Au total, l’agglomération accroîtra même son autofinancement, qui gagnera 1,5 million pour atteindre 18,9 millions. Ces résultats permettent à Tour(s)plus de maintenir ses taux de fiscalité, de diminuer légèrement le recours à l’emprunt (29,4 millions contre 31,5 millions en 2009) même si la capacité de désendettement de l’agglomération se dégradera légèrement pour atteindre 5 ans au lieu de 3,5 années.
Thèmes abordés
Régions