Un accord au forceps a été trouvé, après plusieurs semaines de polémiques entre le nouveau maire de Blois et l’association qui gère les « rendez-vous de l’histoire ». Ce festival historique restera donc à Blois et ne déménagera pas à Tours comme cela avait été envisagé. Pour conserver cette manifestation d’ampleur nationale, la ville a accepté les demandes de l’association aussi en bien en termes financiers (subvention annuelle de deux millions de francs) qu’humains. L’association devrait ainsi embaucher Francis Chevrier, ancien directeur des affaires culturelles de la ville, comme permanent et directeur. Une nouvelle convention va être rédigée pour fixer précisément les relations entre la ville et l’association.
Jean-Jacques Talpin
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