Avec le gel des dotations et les conséquences de la crise, les petites villes ont affaire à une équation difficile : « les recettes de gestion progressent à un rythme modéré (+ 1,6 %), les dépenses de gestion croissent à un rythme plus soutenu (+ 2,1 %) », indique l’Association des petites villes de France (APVF).
S’agissant du premier aspect, la bonne dynamique des bases fiscales – et non des taux comme tient à la préciser l’APVF(1) – vient compenser la diminution des concours de l’Etat de 2,3 %. S’agissant des dépenses, ce sont celles à caractère générale qui augmentent le plus (+ 2,7 %), celles de personnel évoluant de + 2,0 %.
Avec un autofinancement en recul et des dépenses ...
[60% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Références
Observatoire des finances locales des petites villes de France - APVF/Localnova - octobre 2013
Cet article est en relation avec le dossier
Thèmes abordés