Entre 2.000 et 2.500 personnes ont participé aux réunions du débat public en Provence-Alpes-Côte d’Azur qui s’achève jeudi soir, sur le projet international de réacteur thermonucléaire expérimental ITER.
Le débat public est aussi passé par internet avec 220 questions posées et en moyenne 150 connexions quotidiennes sur le site de la commission du débat public.
Le débat avait été officiellement ouvert le 16 janvier et s’est déroulé dans 17 villes sur des thèmes tels que l’aménagement du territoire et les équipements induits, les enjeux scientifiques, technologiques et économiques, l’environnement et les risques.
Les préoccupations des Provençaux portent tant sur la volonté d’éviter un « ghetto scientifique » du genre de la cité des étoiles en banlieue de Moscou que sur l’implantation d’une école internationale.
La commission doit rédiger le compte-rendu de ce débat qui sera publié début juin. Les responsables de tous niveaux (Iter international, Iter France, l’Union européenne, l’Etat français) devront ensuite se prononcer sur le devenir des propositions qui auront émergé de ce débat.
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