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L’emploi et la formation professionnelle des personnes handicapĂ©es

Publié le 01/05/2011 • Par Dunod Éditions • dans : Fiches de révision

Ma Gazette

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1. Introduction

Les principes de non-discrimination et d’égalitĂ© de traitement Ă©tablissent un cadre gĂ©nĂ©ral pour l’emploi des personnes handicapĂ©es. La loi du 11 fĂ©vrier 2005 transpose la directive europĂ©enne du 27 novembre 2000 sur ce sujet en prĂ©cisant qu’aucune personne, en raison de son handicap, ne peut ĂŞtre Ă©cartĂ©e d’une procĂ©dure de recrutement ou d’accès Ă  un stage ou Ă  une pĂ©riode de formation en entreprise, qu’aucun salariĂ© ne peut ĂŞtre sanctionnĂ©, licenciĂ© ou faire l’objet de mesures discriminatoires notamment en matière de rĂ©munĂ©ration, de mesures d’intĂ©ressement ou de distribution d’actions, de formation, de reclassement, d’affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de contrat, en raison de son handicap (L. 122-45 du Code du travail).

La loi du 10 juillet 1987 a posĂ© le principe d’une obligation d’emploi des personnes handicapĂ©es Ă  hauteur de 6 % des effectifs et celui de la sanction financière des employeurs privĂ©s qui ne la respecteraient pas.

La loi du 11 fĂ©vrier 2005 a renforcĂ© cette obligation d’emploi en valorisant les efforts rĂ©alisĂ©s par les employeurs, en sanctionnant plus lourdement ceux qui n’emploient aucune personne handicapĂ©e et en Ă©largissant les sanctions aux employeurs publics jusque-lĂ  non concernĂ©s.

En effet, toute entreprise occupant au minimum vingt salariĂ©s doit employer des personnes handicapĂ©es dans la proportion de 6 % de son effectif total.

Celle-ci peut s’acquitter de son obligation selon cinq formes :

  • l’emploi de personnes handicapĂ©es ;
  • l’accueil de stagiaires handicapĂ©s ;
  • le recours Ă  la sous-traitance avec le milieu protĂ©gĂ© (entreprise adaptĂ©e et ESAT) ;
  • la conclusion d’un accord de branche ou d’entreprise prĂ©voyant un programme pluriannuel en faveur des personnes handicapĂ©es ;
  • le versement d’une contribution financière Ă  l’AGEFIPH (Association pour la gestion des fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapĂ©es association — pour la gestion des fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapĂ©es (AGEFIPH) ), pour le secteur privĂ© et au FIPHFP ( Fonds pour l’insertion des personnes handicapĂ©es dans la fonction publique fonds — pour l’insertion des personnes handicapĂ©es dans la fonction publique (FIPHFP) ) pour le secteur public.

2. L’insertion professionnelle en milieu ordinaire

L’article R. 5213-1 du Code du travail précise que le pilotage des actions du service public de l’emploi et des organismes de placement spécialisés en matière d’insertion professionnelle des personnes handicapées associe :

  • l’État ;
  • le service public de l’emploi (PĂ´le emploi et autres) ;
  • l’association chargĂ©e de la gestion du fonds de dĂ©veloppement pour l’insertion professionnelle des handicapĂ©s (AGEFIPH) ;
  • le fonds de dĂ©veloppement pour l’insertion professionnelle des handicapĂ©s dans la fonction publique (FIPHFP) ;
  • les organismes de placement spĂ©cialisĂ©s.

a. Le plan régional d’insertion des travailleurs handicapés (PRITH)

Le plan régional d’insertion des travailleurs handicapés (PRITH)(1), défini par la circulaire DGEFP n◦ 2009-15 du 26 mai 2009, est le plan unique d’action du service public de l’emploi (SPE/Pôle Emploi) et de ses partenaires.

Élaboré par le SPE sous l’autorité du préfet de région, le PRITH recense l’ensemble des actions de droit commun et spécifiques définies par les acteurs. Il est arrêté par un comité de pilotage réunissant l’État, l’AGEFIPH, le SPE et ses partenaires (conseils généraux et régionaux, MDPH) et le fond pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique.

Le PRITH comprend un diagnostic régional, des objectifs chiffrés, un plan d’action régional, la définition des moyens mobilisables ainsi que des indicateurs de suivi et d’évaluation.

Le PRITH se décline en niveau territorial à travers des plans locaux.

b. L’orientation orientation des personnes handicapées

La CDAPH au sein de la MDPH est chargée de l’orientation professionnelle de la personne handicapée (voir à ce sujet les fiches 10 et 11).

Les travailleurs handicapés dont l’orientation professionnelle présente des difficultés particulières peuvent être accueillis dans un centre de pré-orientation (cf. R 5213-2 à 6 du Code du travail) avec mission d’évaluer les capacités de la personne et de proposer une orientation adaptée.

c. Le reclassement des travailleurs handicapés

Les personnes, sur décision de la CDAPH, peuvent être orientées vers un centre de rééducation professionnel (CRP), dès lors qu’elles ont besoin d’un accompagnement médico-social personnalisé assuré par une équipe pluridisciplinaire (cf. R. 5213-9 à 14).

Le CRP dispense des formations qualifiantes pour favoriser l’insertion ou la réinsertion de la personne handicapée, tant en milieu ordinaire de travail qu’en milieu adapté ou protégé.

Les CRP sont agréés par l’État, financés par l’assurance-maladie et constituent un établissement médico-social relevant de la loi du 2 janvier 2002.

d. La formation des travailleurs handicapés

Les personnes handicapées accèdent de droit à l’ensemble des dispositifs de formation, avec des possibilités d’aménagement :

  • des actions spĂ©cifiques de formation ayant pour objet l’insertion ou la rĂ©insertion professionnelle, le maintien dans l’emploi, le dĂ©veloppement de compĂ©tences, l’accès aux diffĂ©rents niveaux de qualification professionnelle, la contribution au dĂ©veloppement Ă©conomique et culturel, la promotion sociale.
    Ces actions sont définies et mise en oeuvre par l’État, Pôle emploi, l’AGEFIPH, le FIPHFP, le conseil régional, les organismes de protection sociale, les organisations syndicales et les associations représentatives des personnes handicapées ;
  • de l’apprentissage (voir fiche 14).

e. Le placement et le suivi

La loi du 3 juin 1975 avait créé les Équipes de préparation et de suite du reclassement (EPSR), ayant pour fonction d’assister la personne handicapée dans sa recherche d’emploi et de faciliter la mise en relation avec les employeurs. Les ESPR ont également un rôle de prospection des entrepreneurs susceptibles d’employer des travailleurs handicapés et de les informer sur les aptitudes de ceux-ci à travailler. Depuis un accord État/AGEFIPH datant de 1994, les ESPR sont financés par l’AGEFIPH et ont progressivement perdu leur spécificité, notamment la possibilité de proposer un accompagnement à caractère plus social et des actions de préparation et d’adaptation à l’emploi. Parallèlement, sans cadre réglementaire mais également financés par l’AGEFIPH, se sont développés des organismes d’insertion et de placement (OIP) ayant des missions voisines des ESPR ainsi que des groupements interprofessionnels pour la promotion de l’emploi des personnes handicapés (GIRPEH). Par ailleurs, le réseau d’association « Ohé-Prométhée » propose des aides et conseils pour les démarches d’insertion professionnelle des personnes handicapées(2).

La loi du 11 fĂ©vrier 2005 prend acte de ces Ă©volutions et donne un cadre juridique unique Ă  ces diverses structures sous l’appellation d’organisme de placement spĂ©cialisĂ© en charge de la prĂ©paration, de l’accompagnement et du suivi durable dans l’emploi des personnes handicapĂ©es (article R 5213-7 du code du travail). Ceux-ci sont subventionnĂ©s par l’AGEFIPH. Ces structures sont labellisĂ©es par le ministère du travail sous l’appellation « CAP-Emploi »(3).

f. Les aides de l’AGEFIPH

Les ressources du fonds géré par l’AGEFIPH(4) sont destinées à favoriser toutes les formes d’insertion professionnelle des personnes handicapées en milieu ordinaire de travail. Une convention triennale est passée entre l’État et l’AGEFIPH.

En 2011 les aides et conseils de l’Agefiph concernent notamment :

  • la compensation du handicap (adaptation de la situation de travail ; aide technique et humaine ; mobilitĂ©, tutorat) ; 
  • la construction du projet professionnel (formation professionnelle, bilan de compĂ©tences et orientation professionnelle) ;
  • la formation (des demandeurs d’emploi, des travailleurs handicapĂ©s, des salariĂ©s) ;
  • le maintien dans l’emploi ;
  • l’accès Ă  l’emploi (primes Ă  l’embauche, contrat de professionnalisation, apprentissage, crĂ©ation d’activitĂ©) ;
  • l’aide Ă  la mise en place d’une politique de l’emploi. 

Par ailleurs l’Agefiph, en collaboration avec le FIPHFP propre au secteur public, assure directement ou indirectement des prestations d’accompagnement des travailleurs handicapées à travers :

  • un service d’appui au maintien dans l’emploi (SAMETH) ;
  • les actions de Cap emploi (voir ci-dessus EPSR, OIP, etc.) ;
  • un service « appui projet » ;
  • un service d’accompagnement Ă  la crĂ©ation d’activitĂ© ;
  • un service « vie au travail ».

g. Les aides de l’État

L’État apporte Ă©galement une aide dans les cas suivants :

  • l’amĂ©nagement d’un poste de travail ;
  • la subvention d’installation (en cas de profession indĂ©pendante) ;
  • une prime au reclassement Ă  l’issue d’un stage de rééducation, rĂ©adaptation et formation ;
  • les contrats aidĂ©s de droit commun.

3. L’insertion professionnelle en milieu adapté

a. Les entreprises adaptées

La loi du 11 fĂ©vrier 2005 a rĂ©formĂ© les ateliers protĂ©gĂ©s, dĂ©sormais dĂ©nommĂ©s entreprises adaptĂ©es, dont le statut est celui d’une entreprise ordinaire avec la spĂ©cificitĂ© d’employer majoritairement des travailleurs handicapĂ©s Ă  efficience rĂ©duite.

L’entreprise adaptée est une entreprise à part entière qui permet à des personnes handicapées d’exercer une activité professionnelle dans des conditions adaptées à leurs besoins.

Elle passe avec l’État un contrat triennal d’objectifs valant agrément et prévoyant notamment un avenant financier annuel.

Enfin, elle peut embaucher au maximum 20 % de salariĂ©s non handicapĂ©s.

L’octroi des aides de l’État est accordé en contrepartie des engagements de l’entreprise adaptée figurant dans le contrat d’objectifs. Ces aides sont composées d’une aide au démarrage (deux années), d’une subvention spécifique (qui compense les surcoûts générés par l’emploi très majoritaire de personnes handicapées et permet un suivi social et une formation spécifique des salariés handicapés) et d’une aide au poste (qui permet de maintenir un salaire de droit commun quelle que soit l’efficience du salarié)(5).

Le travailleur handicapé en entreprise adaptée a un statut de droit commun au regard de ses conditions de travail et de sa rémunération

L’entreprise applique l’ensemble des dispositions législatives, réglementaires et contractuelles propres à sa branche professionnelle d’appartenance.

Un travailleur handicapé en entreprise adaptée peut être mis à disposition d’un autre employeur en vue d’une embauche éventuelle.

b. Le Centre de distribution de travail Ă  domicile

Le centre de distribution de travail à domicile (CDTD) a le même statut qu’une entreprise adaptée. Sa spécificité est de procurer aux travailleurs handicapés des travaux manuels ou intellectuels à domicile.

c. L’établissement ou service d’aide par le travail établissement — ou service d’aide par le travail

L’Ă©tablissement ou service d’aide par le travail (ESAT) est la dĂ©nomination retenue par la loi du 11 fĂ©vrier 2005 pour qualifier les ex-CAT ( centre d’aide par le travail ).

Les ESAT accueillent des personnes handicapées pour lesquelles la CDAPH a constaté que leur capacité de travail ne leur permet pas un travail en entreprise ordinaire ou adaptée.

L’ESAT offre des possibilitĂ©s d’activitĂ©s diverses Ă  caractère professionnel ainsi qu’un soutien mĂ©dico-social et Ă©ducatif, en vue de favoriser leur Ă©panouissement social et personnel. Ils mettent en Ĺ“uvre des actions d’entretien des connaissances, de maintien des acquis scolaires et de formation professionnelle ainsi que des actions Ă©ducatives d’accès Ă  l’autonomie et d’implication dans la vie sociale (L. 344-1-1 Ă  L. 344-2-1 du CASF et L. 323-30 du Code du travail).

Les ESAT sont des structures mĂ©dico-sociales relevant de la loi du 2 janvier 2002 et s’inscrivent Ă  la fois dans le champ de l’activitĂ© Ă©conomique et celui de l’action mĂ©dico-sociale.

Les ESAT sont autorisĂ©s et financĂ©s par l’État et passent une convention qui prĂ©cise :

  • les catĂ©gories de personnes reçues,
  • le pourcentage maximum de personnes reçues dont la capacitĂ© de travail est supĂ©rieure au tiers de la capacitĂ© normale,
  • la nature des activitĂ©s professionnelles et extraprofessionnelles,
  • le nombre et la qualification des personnels encadrant les activitĂ©s professionnelles,
  • les modalitĂ©s de soutiens Ă©ducatifs, sociaux et psychologiques et la qualification des personnes y contribuant,
  • les bases de la rĂ©munĂ©ration des travailleurs handicapĂ©s.

L’ESAT doit rĂ©pondre aux normes d’hygiène et sĂ©curitĂ© prĂ©vues aux articles L. 231-1 et suivants du Code du travail et est soumis Ă  la mĂ©decine du travail.

L’ESAT perçoit de l’État une dotation globale couvrant :

  • les frais d’hĂ©bergement et d’entretien de la personne handicapĂ©e,
  • les charges de fonctionnement de l’activitĂ© sociale de l’établissement notamment celles entraĂ®nĂ©es par le soutien Ă©ducatif et mĂ©dico-social de la personne dans son activitĂ© de caractère professionnel ainsi que les frais de transport collectif.

Les charges directement entraînées par l’activité de production et de commercialisation ne sont pas comprises dans le financement.

Le travailleur handicapé est orienté en ESAT par la CDAPH et démarre son activité par une période d’essai.

Le travailleur en ESAT n’a pas le statut de salariĂ©. Sa situation n’est pas rĂ©gie par un contrat de travail mais par un « contrat d’aide et de soutien par le travail Â» (L. 311-4 CASF) qui est une variante du « contrat de sĂ©jour Â» prĂ©vu par la loi du 2 janvier 2002.

Le travailleur en ESAT bĂ©nĂ©ficie ;

  • d’un congĂ© annuel de trente jours,
  • de congĂ©s pour Ă©vĂ©nements familiaux,
  • de la formation professionnelle continue.

Sa rĂ©munĂ©ration est versĂ©e par l’ESAT sur la base d’une rĂ©munĂ©ration garantie (55 % Ă  110 % du SMIC). Cette rĂ©munĂ©ration est financĂ©e au minimum Ă  hauteur de 5 % par la production de l’ESAT. L’aide au poste (6)versĂ©e par l’État ne peut ĂŞtre supĂ©rieure Ă  50 % de ce salaire.

Cette rĂ©munĂ©ration est complĂ©tĂ©e par le versement d’une AAH diffĂ©rentielle (voir fiche 12, « Les ressources de la personne handicapĂ©e adulte Â»).

Le travailleur en ESAT peut être mis à disposition d’une autre entreprise lorsque cela est susceptible de favoriser l’épanouissement personnel et professionnel et de développer la capacité d’emploi du travailleur handicapé.

Mettez toutes les chances de votre côté

Thèmes abordés

Notes

Note 01 Le PRITH se substitue aux plans départementaux antérieurs (PDITH). Retour au texte

Note 02 La liste des EPSR, OIP et autres organisme peut être consultée sur http://www.emploiplus. net/handi/list_oipepsr.htm Retour au texte

Note 03 CF le site http://www.capemploi.net/accueil/ Retour au texte

Note 04 Pour plus d’information se reporter au site de l’AGEFIPH : http://www.agefiph.asso.fr/ Retour au texte

Note 05 En 2011 l’aide au poste en entreprise adaptĂ©e est fixĂ©e Ă  80 % du SMIC, soit 1 092,03 euros depuis le 1er janvier 2011, pour 151,67 heures. La subvention annuelle comprend une partie forfaitaire fixĂ©e 900,00 euros et une partie variable comprenant : – une majoration pour le dĂ©veloppement Ă©conomique de la structure (1 100,00 euros maximum) ; – une majoration pour le maintien dans l’emploi des travailleurs vieillissants qui est de 600,00 euros (travailleur handicapĂ© âgĂ© de 50 Ă  moins de 56 ans) ou de 1 060,00 euros (travailleur handicapĂ© âgĂ© de 56 ans et plus) ; – une majoration pour mobilitĂ© professionnelle par l’accession des travailleurs handicapĂ©s Ă  d’autres emplois du marchĂ© du travail, qui est de 4 600,00 euros par travailleur handicapĂ© concernĂ©.  Retour au texte

Note 06 L'aide au poste est fixĂ©e Ă  50 % du SMIC lorsque la rĂ©munĂ©ration totale versĂ©e par l'ESAT est comprise entre 5 % et 20 % du SMIC et dĂ©croĂ®t jusqu'Ă  10 % du SMIC si la rĂ©munĂ©ration totale est de 100 % du SMIC (situation que l'on ne rencontre jamais !). Retour au texte

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