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Coordination, planification, évaluation, orientation et allocation de moyens

Publié le 01/05/2011 • Par Dunod Éditions • dans : Fiches de révision

Les institutions et mécanismes de coordination et de planification

L’ensemble de la nation est acteur de la politique publique concernant les personnes handicapĂ©es, puisque selon l’article L. 114-2 du CASF :

« Les familles, l’État, les collectivitĂ©s locales, les Ă©tablissements publics, les organismes de SĂ©curitĂ© sociale, les associations, les groupements, organismes et entreprises privĂ©s et publics associent leurs interventions […] en vue notamment d’assurer aux personnes handicapĂ©es toute l’autonomie dont elles sont capables. Â»
 

Une attention particulière est apportĂ©e aux associations reprĂ©sentatives des personnes handicapĂ©es, puisque selon l’article L. 146-1 A, dans les instances nationales ou territoriales qui Ă©mettent un avis ou adoptent des dĂ©cisions concernant la politique en faveur des personnes handicapĂ©es, les reprĂ©sentants des personnes handicapĂ©es sont nommĂ©s sur proposition de leurs associations reprĂ©sentatives en veillant Ă  la prĂ©sence simultanĂ©e d’associations participantes Ă  la gestion d’établissements et services.

a. À l’échelon national

Les institutions et mĂ©canismes de coordination Ă  l’échelon national sont les suivantes :

  • le ComitĂ© interministĂ©riel du handicap, instance politique interministĂ©rielle, a remplacĂ© en 2009 la dĂ©lĂ©gation interministĂ©rielle aux des personnes handicapĂ©es (dĂ©cret nâ—¦ 2009-1367). Il est chargĂ© de dĂ©finir, coordonner et Ă©valuer les politiques conduites par l’État en direction des personnes handicapĂ©es ainsi que les actions conduites Ă  leur adresse.
  • le ComitĂ© interministĂ©riel de coordination en matière d’adaptation et de rĂ©adaptation, (cf. R. 114-1 du CASF) coordonne et anime les interventions de l’État, en collaboration avec les organismes et associations concernĂ©s, en vue de faciliter l’insertion ou la rĂ©insertion socio-professionnelle des personnes handicapĂ©es.
  • la ConfĂ©rence nationale du handicap est organisĂ©e confĂ©rence nationale du handicap tous les trois ans par le gouvernement. Elle remet au Parlement un rapport sur la mise en Ĺ“uvre de la politique nationale en faveur des personnes handicapĂ©es (article L. 114-2-1 du CASF)(1) ;
  • le Conseil national consultatif des personnes handicapĂ©es (CNCPH)(2) assure la participation des personnes handicapĂ©es Ă  l’élaboration et Ă  la mise en oeuvre des politiques les concernant (article L. 146-1 du CASF) ;
  • le Conseil supĂ©rieur pour le reclassement professionnel et social des travailleurs handicapĂ© promeut les initiatives et donne un avis sur les aspects touchant Ă  la formation et l’emploi des personnes handicapĂ©es (R. 323-81 du Code du travail) ;
  • l’Observatoire national sur la formation, la recherche et l’innovation sur le handicap (ONFRIH) est chargĂ© de se prononcer sur la coordination des politiques de prĂ©vention et de dĂ©pistage des problèmes de santĂ© avec la politique de prĂ©vention du handicap (article L. 114-3-1 du CASF) ; selon D. 114-4 du CASF, l’ONFRIH apprĂ©cie Ă©galement la prise en compte du handicap dans les recherches, recense et analyse les compĂ©tences liĂ©es au handicap dans les formations, identifie et analyse les actions innovantes ;
  • l’Observatoire interministĂ©riel de l’accessibilitĂ© et de la conception universelle (dĂ©cret nâ—¦ 2010-124). L’ajout de la mention « conception universelle » dans le libellĂ© du nom de l’observatoire indique la nĂ©cessitĂ© de penser la question de l’accessibilitĂ© dès la conception des Ă©quipements(3) ;
  • un ou des schĂ©mas nationaux d’actions prioritaires prĂ©cisent les axes de la politique publique devant trouver leur dĂ©clinaison rĂ©gionale ou dĂ©partementale. Ces schĂ©mas organisent Ă©galement directement la mise en Ĺ“uvre des actions qui supposent de retenir la globalitĂ© du territoire comme critère gĂ©ographique (maladie rare, etc.) ;
  • la Caisse nationale de solidaritĂ© pour l’autonomie (CNSA)(4) assure un rĂ´le de coordination entre les maisons dĂ©partementales des personnes handicapĂ©es (MDPH) et participe Ă  la planification Ă  travers les PRIAC (voir ci-après) ;
  • le Centre technique national d’études et de recherches sur les handicaps et les inadaptations (CNTERHI) est chargĂ©, par ses travaux, enquĂŞtes et publications, d’éclairer les pouvoirs publics et les acteurs du champ du handicap sur tout ce qui a trait Ă  la politique publique du handicap. Les missions du CTNERHI ont Ă©tĂ© reprises et transformĂ©es au 01/01/11 par l’École des hautes Ă©tudes en santĂ© publique (EHESP) sous le vocable Maison des sciences sociales du handicap(5).

b. À l’échelon régional

  • L’Agence rĂ©gionale de santĂ© (ARS)(6), créée par la loi HĂ´pital, patients, santĂ©, territoire (HPST) du 21 juillet 2009, qui inclut dans son champ de compĂ©tence la partie du secteur mĂ©dico-social des personnes handicapĂ©es financĂ© par l’État et par l’assurance maladie(7). L’ARS a la responsabilitĂ©, entre autres, de faire fonctionner diverses institutions ou mĂ©canismes liĂ©s Ă  ses missions et comportant un volet spĂ©cifique aux personnes handicapĂ©es : la confĂ©rence rĂ©gionale de santĂ© et de l’autonomie (CRSA) et ses dĂ©clinaisons locales Ă  travers les confĂ©rences de territoire ; le projet rĂ©gional de santĂ© (PRS) ; le schĂ©ma rĂ©gional d’organisation mĂ©dico-social (SROMS). 
  • L’Observatoire de santĂ© (ORS) est un organisme d’études dont la mission gĂ©nĂ©rale est l’aide Ă  la dĂ©cision dans le domaine sanitaire et social. L’ORS repère, confronte, analyse et synthĂ©tise, Ă  l’échelon rĂ©gional, les donnĂ©es sur l’état de santĂ© de la population.
  • Les Centres rĂ©gionaux pour l’enfance et l’adolescence inadaptĂ©e (CREAI)(8) ont pour mission de repĂ©rer et analyser les besoins et les rĂ©ponses Ă  apporter, d’être des lieux de rencontre et de rĂ©flexions entre acteurs, de fournir des analyses et avis techniques aux dĂ©cideurs et aux gestionnaires d’équipements.

c. À l’échelon départemental

  • Le Conseil dĂ©partemental consultatif des personnes handicapĂ©es (CDCPH) est chargĂ© de donner un avis et formuler des propositions sur les orientations de la politique dĂ©partementale du handicap dans tous les domaines de la vie sociale et sur les mesures Ă  mettre en Ĺ“uvre au plan local pour assurer la coordination des interventions de tous les partenaires institutionnels ou associatifs.
  • La Commission consultative dĂ©partementale de sĂ©curitĂ© et d’accessibilitĂ© (CCDSA) donne son avis sur les constructions en matière d’accessibilitĂ©, de sĂ©curitĂ© et de circulation des personnes handicapĂ©es.
  • Le SchĂ©ma dĂ©partemental d’organisation sociale et mĂ©dico-sociale des personnes handicapĂ©es est adoptĂ© par le conseil gĂ©nĂ©ral après concertation avec le reprĂ©sentant de l’État dans le dĂ©partement.

2. Les institutions et mécanismes d’évaluation, d’orientation et d’allocation de moyens

Trois grandes institutions, nationale, régionale et départementale, se partagent les fonctions d’évaluation, d’orientation et d’allocation de moyens.

  • Ă€ l’échelon national il s’agit de la Caisse nationale de solidaritĂ© pour l’autonomie (CNSA) dont les missions sont nombreuses allant de l’expertise et l’information sur le handicap et la perte d’autonomie jusqu’à l’allocation de ressources (aux Ă©tablissements et services et aux conseils gĂ©nĂ©raux) tout en garantissant l’égalitĂ© de traitement sur le territoire et pour l’ensemble des handicaps. Les missions et fonctionnement de la CNSA sont dĂ©taillĂ©s dans la fiche 8 consacrĂ©e Ă  cette institution.
  • Ă€ l’échelon rĂ©gional on trouve l’Agence rĂ©gionale de santĂ© (ARS) créée par la loi HPST de juillet 2009. L’ARS arrĂŞte, en relation avec la CNSA, le programme interdĂ©partemental d’accompagnement des handicaps et de la perte d’autonomie (PRIAC). L’ARS autorise, tarifie et contrĂ´le les ESMS relevant de sa compĂ©tence (personnes âgĂ©es et handicapĂ©es dès lors que ces actions sont financĂ©es par l’assurance maladie ou l’État). Les missions et fonctionnement des ARS sont dĂ©taillĂ©s dans la fiche 9 consacrĂ©e Ă  cette institution.
  • Ă€ l’échelon local on trouve la maison dĂ©partementale des personnes handicapĂ©es (MDPH). La MDPH rassemble en un lieu unique pour la personne handicapĂ©e l’accès aux droits et aux prestations. Ses missions vont de l’accueil et l’information jusqu’à l’orientation et l’ouverture des droits (via les dĂ©cisions de la commission des droits et de l’autonomie de la personne handicapĂ©e – CDAPH) en passant par l’accompagnement des personnes handicapĂ©es, la coordination, etc. Les missions et fonctionnement de la MDPH et de la CDAPH sont dĂ©taillĂ©s respectivement dans les fiches 10 et 11.

CRÉATION EN 2009 DES « AGENCES RÉGIONALES DE SANTÉ » (ARS) ET DES DIRECTIONS DÉPARTEMENTALES DE LA COHÉSION SOCIALE (DDCS)

La loi « Bachelot » n◦ 2009-879 du 21 juillet 2009, dite loi HPST (hôpital, patients, santé, territoires) a unifié au sein d’un unique organisme régional, l’agence régionale de santé (ARS), la quasi-totalité des missions publiques relatives à la santé notamment : la prévention, les soins ambulatoires (médecine de ville), l’hospitalisation, la gestion des risques sanitaires et les actions de santé mises en oeuvre par les établissements médico-sociaux.

Concomitamment la Révision générale des politiques publiques (RGPP) a supprimé les directions départementales des affaires sanitaires et sociales (DDASS) et a transféré aux ARS la quasi-totalité de leurs anciennes compétences vis-à-vis des établissements et services pour personnes handicapées.

Sur les ARS, le lecteur se reportera à la fiche n◦ 9 qui développe tout ce qui a trait aux missions et à l’organisation des ARS.

De son côté la toute nouvelle direction de la cohésion sociale (DCS)(9) a hérité de quelques compétences transversales s’agissant du champ du handicap et a pour rôle de :

  • garantir aux personnes handicapĂ©es ou en perte d’autonomie l’accès et le respect de leurs droits, tant au niveau individuel qu’à celui, collectif, Ă  travers l’expression des reprĂ©sentants de ces personnes dans un certain nombre d’instances ;
  • promouvoir leur autonomie sociale et leur citoyennetĂ© : cet aspect se traduit par une mission gĂ©nĂ©rale d’ingĂ©nierie sociale consistant, pour ce service, Ă  s’assurer de la prise en compte des besoins des personnes handicapĂ©es dans les autres politiques dĂ©clinĂ©es localement (Ă©ducation, emploi, accessibilitĂ©, tourisme…). 

À ce titre la DDCS représente l’État au sein de la COMEX de la maison départementale du handicap (MDPH) et au sein de la commission départementale des droits et de l’autonomie (CDAPH). Elle co-anime, avec le Conseil général, le conseil départemental consultatif des personnes handicapées (CCDH).

4. Vers la (non) crĂ©ation d’un cinquième risque « dĂ©pendance Â»

La CNSA, dans son rapport d’activité 2007(10), a étudié, suite à une demande gouvernementale, la possibilité de concrétiser un droit universel à une compensation personnalisée des restrictions de l’autonomie quels que soient l’âge de la personne et les causes de sa perte d’autonomie.

Ce questionnement découle directement d’une disposition de la loi du 11 février 2005 qui a prévu pour 2010 la fin des « barrières d’âge » avant et après 60 ans.

Il s’agirait, à l’échelon de la nation, d’ajouter la couverture d’un cinquième risque « dépendance » aux quatre risques existants gérés par la Sécurité sociale : maladie, vieillesse (retraite), famille (allocations familiales) et accidents du travail. Ce cinquième risque assurerait la convergence entre les prestations concernant respectivement les personnes âgées (allocation personnalisée d’autonomie, APA) et les personnes handicapées (prestation de compensation du handicap, PCH), prestations toutes deux gérées par le conseil général.

Pour la CNSA, l’accès à un « plan personnalisé de compensation » universel est un élément constitutif du « droit universel à la compensation pour l’autonomie », ceci sur la base de référentiels d’évaluation harmonisés n’introduisant pas de césure d’âge et d’une prestation personnalisée de compensation récapitulant l’ensemble de biens et de services reconnus comme nécessaires.

Ce chantier législatif a été lancé en février 2011(11) par le président de la République. Force est de constater que l’autorité publique a clairement renoncé, pour des motifs économiques, à toute convergence et unification des dispositifs prenant en compte la dépendance des personnes handicapées et âgées. La loi qui sera adoptée d’ici la fin de l’année 2011 ne concernera donc que les personnes âgées et visera principalement à élargir le financement de leur perte d’autonomie à travers des mécanismes comme le recours à une assurance personnelle obligatoire et le rétablissement d’un principe de « récupération », au titre de l’aide sociale, pour les bénéficiaires de l’APA.

Mettez toutes les chances de votre côté

Notes

Note 01 La 1re conférence nationale s’est tenue en juin 2008 et le 1er bilan du gouvernement remis au parlement publié en février 2009. Le lecteur pourra le consulter sur le site de la documentation française http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/ 094000070/ Retour au texte

Note 02 Selon L. 146-1 du CASF, le Conseil National consultatif des personnes handicapées : – assure la participation des personnes handicapées à l’élaboration et à la mise en oeuvre des politiques les concernant, – veille aux bonnes conditions nécessaires à l’exercice de la fonction de coordination aux conseils départementaux consultatifs, – est consulté par les ministres compétents sur tout projet, programme ou étude intéressant les personnes handicapées, – peut se saisir de toute question relative à la politique concernant les personnes handicapées, – est chargé d’évaluer la situation matérielle, financière et morale des personnes handicapées en France et des personnes handicapées de nationalité française établies hors de France prises en charge au titre de la solidarité nationale, – présente toutes les propositions jugées nécessaires au Parlement et au Gouvernement, visant à assurer, par une programmation pluriannuelle continue, la prise en charge des personnes handicapées. Le CNCPH comprend soixante-cinq membres dont : – un président nommé par le ministre chargé des Personnes handicapées ; – deux parlementaires (un député et un sénateur) ; – quatre élus de collectivités territoriales, représentants de l’Association des régions de France, de l’Assemblée des départements de France et de l’Association des maires de France ; – cinquante représentants titulaires d’associations regroupant les personnes handicapées ou leurs familles, d’associations ou organismes oeuvrant dans le domaine du handicap, d’organismes de protection sociale, et d’associations ou organismes développant des actions de recherche ; – huit représentants titulaires d’organisations syndicales de salariés et d’organisations professionnelles nationales. Retour au texte

Note 03 Se reporter Ă  la fiche 20. Retour au texte

Note 04 Voir fiche 8. Retour au texte

Note 05 Cf. le site de l’EHESP http://www.ehesp.fr. En partenariat avec l’École normale supérieure, le CNRS, l’Inserm, la structure fédérative de recherche sur le handicap et la CNSA, l’EHESP a créé, au sein de la Maison des sciences sociales du handicap, trois chaires pour développer les thématiques des sciences sociales sur le handicap. Retour au texte

Note 06 Cf. les portails internet des ARS, accessibles via http://www.ars.sante.fr/portail.0.html Retour au texte

Note 07 Voir la fiche nâ—¦ 9. Retour au texte

Note 08 Les CREAI sont fédérés au sein d’une association nationale, l’ANCREAI. Se reporter à son site internet http://www.ancreai.fr/ Retour au texte

Note 09 Cf. Circulaire n◦ DGCS/SD3/2010/97 du 23 mars 2010 relative à la répartition des compétences entre les agences régionales de santé et les directions régionales et départementales en charge de la cohésion sociale sur le champ de la politique du handicap. Retour au texte

Note 10 Téléchargeable sur le site de la CNSA, http://wxww.cnsa.fr. Retour au texte

Note 11 Un rapport parlementaire sur la prise en charge des personnes âgées dépendantes (présidence : Valérie Rosso-Debord ; commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, 23 juin 2010) en donne les grandes lignes possibles : instauration d’une assurance « perte d’autonomie » obligatoire ; recentrage de l’allocation personnalisé autonomie (APA) ayant pour conséquence un transfert partiel de charges de la solidarité nationale vers les particuliers ; mobilisation accrue de la CSG et de la CSA (contribution solidarité autonomie) ; réduction des coûts pour les résidents en EHPAD. Retour au texte

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