Certes, le montant semble dérisoire étant donné l’ampleur du problème à financer. Mais il présente le mérite d’être une « première ». De fait, « il s’agit de la première fois qu’une ligne de la loi de finances inscrit un montant alloué aux collectivités locales mises en difficulté par les emprunts toxiques », assure Maurice Vincent, président de l’association Acteurs publics contre les emprunts toxiques.
Au-delà du « signe politique important », le sénateur-maire PS de Saint-Etienne, reconnaît que « cette somme reste insuffisante ». Car si l’enveloppe globale de crédits à risques s’élève à environ 18 milliards d’euros, l’APCET estime entre 8 et 10 milliards le montant du coût de sortie de ces produits, soit leur renégociation.
De plus, toute la question consistera à déterminer ...
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