Pour consolider les dépenses culturelles de l’Etat, Gilles Carrez a pris en compte non seulement les crédits budgétaires stricto sensu des missions « culture » et « médias » du ministère, mais aussi :
- les crédits alloués aux opérateurs publics nationaux comme le Centre national de la cinématographie et de l’image animée (CNC), le Centre des monuments nationaux (CMN), l’Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP), les grands musées nationaux, etc.
- les dépenses fiscales de l’Etat, comme le dispositif en faveur du mécénat ;
- le Fonds de professionnalisation et de solidarité des intermittents.
« C’est ainsi qu’il faut raisonner, c’est-à-dire en comptes consolidés », fait valoir le parlementaire spécialiste des finances publiques. Une méthode comptable qu’il a appliquée aux ...
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