L’avis précise que la part de l’investissement public dans le PIB est restée stable depuis une trentaine d’années, un peu au-dessus de 3 %. Si l’Etat a maintenu le montant de ses investissements, les collectivités locales ont accru les leurs, passant de 44,3 % en 1950 à 71,5 % en 2010.
« Par fonctions, le logement enregistre la plus forte croissance alors que les transports marquent un recul. »
Le CESE dresse donc 2 voies. L’Etat doit, selon lui, « répondre aux défis nouveaux sans sacrifier l’entretien et la préservation de l’existant », faire face à des besoins « nombreux doivent être analysés à l’aune du développement durable » et « éviter les éventuels gâchis ».
Pour les ...
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"L'investissement public : malgré les difficultés, une priorité" - Avis du CESE - juillet 2012
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