« La réduction des déficits publics dans la zone euro est un impératif, un impératif auquel, je tiens à le dire, aucun gouvernement européen, ni aucune majorité, ne peut plus se soustraire. Cette exigence, elle n’est ni de droite, ni de gauche, elle est dictée par l’intérêt national », a déclaré la ministre du Budget en préambule de son intervention.
Puis la porte-parole du gouvernement s’est livré à un plaidoyer de l’action de la France dans ce domaine au cours des dernières années. Chiffres à l’appui.
Crédibilité. « En 2010, nous avions prévu 8 % puis 7,7 % de déficit, nous avons fait 7,1 %. En 2011, nous avions prévus 6 % de déficit, révisé à 5,7 % dans le cadre du pacte de stabilité d’avril 2011 et finalement nous avons fait 5,2 %. Qui peut contester ...
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