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Energie

La relation franco-allemande, une force pour l’Europe de l’énergie ?

Publié le 07/02/2008 • Par Euractiv.fr • dans : Europe

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La mise en place d’une politique énergétique commune ne pourra se faire sans une forte collaboration entre la France et l’Allemagne. Telle est la thèse défendue par des représentants de l’industrie énergétique et des personnalités politiques présentes lors d’une conférence organisée par le Konrad Adenauer Stiftung.
En bref :
Quel rôle le couple franco-allemand peut-il jouer dans la sécurisation de l’approvisionnement énergétique en Europe ? Selon le directeur des ressources humaines d’EnBW, Bernhard Beck, qui s’exprimait lors d’une conférence organisée par la Konrad Adenhauer Stiftung, le 1er février dernier, la relation franco-allemande sera primordiale pour fournir un cadre commun à la politique énergétique en Europe.
Dans le débat sur la lutte contre le changement climatique et la réduction des émissions de CO2, l’Europe a une vision commune de la situation, mais les réponses apportées sont très différentes. M. Beck a ainsi regretté que ce débat se concentre beaucoup sur les énergies renouvelables et l’objectif de 20% d’ici 2020, sans réfléchir à la manière de répondre aux 80% de besoins énergétiques traditionnels. Or, selon lui, une vision politique commune et des investissements stables à long terme sont nécessaires. A l’instar de la coopération entre EDF et EnBW, la France et l’Allemagne pourraient créer les conditions nécessaires en confrontant des expériences différentes pour trouver des solutions communes.
De son côté, le directeur Europe d’EDF, Marc Boudier, a indiqué que « les vrais problèmes en matière d’approvisionnement énergétiques n’étaient pas posés ». Si le pari de la Commission européenne de développer les énergies renouvelables est « intéressant », ces dernières ne suffiront pas à satisfaire les besoins énergétiques des pays européens. Or, dans ce dossier, l’Allemagne a une politique d’attente : « Faire le pari de sortir du nucléaire tout en refusant de construire de nouvelles centrales au charbon, ça ne colle pas. Or, lorsque cela ne colle pas dans un pays, cela ne colle pas dans l’Europe entière», a-t-il indiqué, ajoutant : « On ne peut faire l’économie d’une vision européenne de l’énergie ».
La question du nucléaire est bien l’un des principaux points d’achoppement entre les deux pays. En France le nucléaire est largement accepté par les partis politiques et la population. Les Allemands rejettent en revanche cette énergie, perçue comme extrêmement dangereuse, notamment depuis la catastrophe de Tchernobyl. Selon Alfred Grosser, professeur émérite à Sciences Po Paris, sur cette question, Angela Merkel serait plus proche que le SPD de la position française, mais ne peut soutenir ouvertement le nucléaire, au risque de voir sa coalition actuelle voler en éclat.
Dans le même sens, le député européen Andreas Schwab (PPE-DE), membre du parti de la chancelière, a indiqué qu’il souhaitait voir les centrales fonctionner plus longtemps pour garantir des prix de l’énergie stables sur le plus long terme. Selon lui, la France a un marché exemplaire et modèle et devrait essayer, par le biais de ses entreprises énergétiques telles qu’EDF, de sensibiliser l’opinion publique allemande aux avantages liés au nucléaire. Les récentes déclarations d’Angela Merkel sur cette question laissent d’ailleurs à penser que la place du nucléaire pourrait évoluer en Allemagne.
Enfin, le directeur de la recherche et développement d’EDF, Yves Bramberger, a cité deux champs sur lesquels la France et Allemagne pourraient travailler ensemble :
L’efficacité énergétique : il reste beaucoup de recherche à faire dans ce domaine, notamment pour développer des produits isolants. Le facteur 4 de Kyoto va nécessiter beaucoup d’efforts dans l’efficacité des bâtiments, les économies d’énergie dans l’industrie… Or aujourd’hui, ces champs restent trop nationaux.
L’industrie photovoltaïque européenne : L’Allemagne est en tête en matière d’énergie solaire, source d’énergie amenée à se développer. La France et l’Allemagne auraient donc tout

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