Fermer

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

Menu

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

Outre-mer

Avec la COP 30, l’espoir d’une meilleure gestion des fleuves transfrontaliers de Guyane

Publié le 10/11/2025 • Par Enzo Dubesset • dans : France

Village noir-marron sur les rives du fleuve Maroni en Guyane française
Didier Roussel
En Guyane, la France partage 1 300 kilomètres de frontières fluviales avec le Suriname et le Brésil. Les 6 et 7 novembre s'est tenue une rencontre sur la gestion du fleuve Maroni, en vue de créer un Comité de bassin transfrontalier. Les discussions, impliquant pleinement la Collectivité territoriale de Guyane, se poursuivront à la COP 30 qui s’ouvre ce lundi.

Ma Gazette

Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée

Il suffit d’observer la valse quotidienne des pirogues entre les deux rives du fleuve pour comprendre que le Maroni, marquant la frontière entre le Suriname et la Guyane sur plus de 600 kilomètres, est tout sauf une simple limite administrative.

Quel que soit le pavillon flottant sur les berges, celles-ci abritent les mêmes peuples, souvent les mêmes familles et les différences de passeport s’y effacent derrière une langue commune, le sranan tongo, l’incontournable créole à base anglaise de la région.

La plupart des habitants du Maroni appartiennent aux communautés descendants des bushinengués (ou noirs-marron) ayant fui les plantations esclavagistes, ou à des peuples autochtones comme les Wayana. Pour ces populations, l’imposant cours d’eau et ses centaines d’affluents sont tout à la fois ...

[90% reste à lire]

Article réservé aux abonnés

Gazette des Communes

Mot de passe oublié

VOUS N'êTES PAS ABONNé ?

Découvrez nos formules et accédez aux articles en illimité

Je m’abonne

Thèmes abordés

Réagir à cet article
shadow
marche online

Aujourd'hui sur les clubs experts gazette

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

Avec la COP 30, l’espoir d’une meilleure gestion des fleuves transfrontaliers de Guyane

Votre e-mail ne sera pas publié

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement