LaGazette : Pourquoi se réunir dans un groupe de travail dédié sur la fiscalité et les dotations ?
Laurent Perrier : Dans les collectivités, quand on prend le poste de fiscaliste, on est esseulé. Il y a peu de gens qui peuvent nous servir de tuteur, où il y a rarement d’experts sur la fiscalité. C’est le premier avantage du groupe de travail : mettre en réseau les gens qui sont isolés dans leurs collectivités, et partager la veille qui est faite par tous, notamment sur le suivi de la loi de finances.
Christelle Gaucher : Une collectivité recrute rarement un agent qui soit fiscaliste territorial et prêt à l’emploi, sauf à ce que ce soit quelqu’un qui soit déjà dans cette situation, qui décide notamment de changer de collectivité. Il faut donc former les collègues de A à Z, et dans des ...
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