Sfil, partenaire incontournable des collectivités locales
Acteur engagé dans le soutien au développement des territoires, Sfil a annoncé cet été avoir franchi le cap des 50 milliards d’euros de prêts au secteur public local dont plus de 46 milliards dédiés spécifiquement aux collectivités. Comme le souligne Philippe Mills, Directeur général de Sfil, « franchir ce seuil symbolique signifie que non seulement nous réussissons à mettre en œuvre notre raison d’être, financer un avenir durable, mais aussi que notre mandat de banque publique de développement convainc très largement. »
Créée en 2013, Sfil est le 1er financeur du secteur public local avec ces deux partenaires, La Banque Postale et La Banque des Territoires. Grâce à son positionnement unique d’intermédiaire entre les investisseurs internationaux et les acteurs publics locaux, la banque publique finance aux meilleures conditions des projets allant de quelques milliers d’euros jusqu’à 200 millions d’euros. Et surtout, Sfil propose une offre pour accompagner les nouveaux défis posés par la transition écologique aux collectivités locales. Depuis son lancement en 2019, une gamme de prêts verts répond au mieux aux nouveaux besoins des collectivités et, depuis 2022, une gamme de prêts sociaux est dédiée aux hôpitaux publics. Depuis 2019, Sfil a ainsi octroyé plus de 5 milliards d’euros de prêts thématiques aux collectivités locales. Et cette part dans l’activité de Sfil devrait continuer à croître dans les années à venir, les collectivités locales étant conduites à se saisir davantage des enjeux liés au changement climatique.
Une présence indispensable face au défi de la transition écologique
Parmi les thématiques couvertes par les prêts verts financés jusqu’ici par Sfil, plusieurs grandes tendances se dégagent. Depuis quelques années, les principaux enjeux pour les collectivités ont été ceux de la gestion de l’eau et de l’assainissement (40% des prêts accordés), de la mobilité douce et des transports propres (27%), ceux de l’efficacité énergétique (17%) et de la valorisation des déchets (14%). Le financement de ces projets a permis, par exemple, d’éviter plus de 90.000 tonnes d’émissions annuelles de CO2, ou encore d’ajouter ou de renouveler près de 3.000 kilomètres de canalisations d’eau.
Les besoins des acteurs locaux resteront considérables à l’avenir. « D’ici 2030, les collectivités locales devront investir jusqu’à 21 milliards d’euros par an pour s’adapter au changement climatique et réduire leurs émissions de gaz à effet de serre » rappelle Philippe Mills. Voilà pourquoi la banque publique entend bien continuer à jouer son rôle d’acteur central du financement à moyen et long terme des collectivités de toutes tailles à travers toute la France. La banque publique a d’ailleurs pour objectif d’atteindre 33% du financement total émis sous forme d’obligations verte, sociale et durable d’ici 2030.
La 1ère émission obligataire sociale pour les collectivités
Soucieuse de fournir la solution la plus adaptée aux besoins des collectivités, Sfil vient d’annoncer le succès de sa toute 1ère émission d’obligations sociales auprès de 70 investisseurs. D’un montant de 1,25 milliard d’euros et d’une maturité de 7 ans, celle-ci financera deux types d’investissements sociaux : d’une part, l’accès aux services essentiels comme par exemple le financement des établissements d’enseignement (écoles, collèges, lycées), de la petite enfance (crèches) ou des équipements culturels (médiathèques) ; et d’autre part, le développement et la cohésion des territoires, avec la construction de réseaux à très haut débit ou le financement de programmes de renouvellement urbain. Autant de nouveaux sujets qui ne manqueront pas d’animer les discussions sur le stand de Sfil au Salon des Maires qui se tiendra à la Porte de Versailles du 19 au 21 novembre.
Contenu proposé par SFIL