A l’heure de la « sobriété énergétique » prônée par le président de la République, et face à la flambée des prix de l’énergie, de plus en plus de communes – Lyon, Strasbourg, Toulouse, Lorient, Clermont-Ferrand, Meudon, Franconville, etc., décident de limiter, voire d’éteindre l’éclairage public une partie de la nuit. Au risque de mettre à mal la tranquillité et la sécurité publique ?
« C’est une réflexion inévitable, commente Estelle Bomberger-Rivot, maire Nogent-sur-Seine (Aube, 6 000 hab.). Nous, on a tranché. On laisse l’éclairage public allumé, en premier lieu pour des questions de sécurité. On a la particularité d’avoir sur notre territoire une centrale nucléaire. On a aussi une gare, des entreprises qui travaillent la nuit… Tous ces aspects nous ont amené à conclure qu’on ne ...
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