Elles ont fleuri dans les rues de nos villes, sur les trottoirs et les places de stationnement, à l’été 2020, après le premier déconfinement. Prises d’assaut par les habitants ravis de retrouver une vie conviviale, les terrasses dites « éphémères » n’ont pas tardé, en dépit des tentatives de réglementation, à devenir un objet de discorde, laissant éclater au grand jour la question de la vie nocturne.
« Le dispositif des terrasses, qui a permis de soutenir les professionnels, a entraîné une suroccupation de l’espace public, alors que, dans le même temps, le seuil de tolérance au bruit, après des mois de fermeture des bars, avait chuté. Les villes ont été confrontées à une explosion des conflits d’usage et ont compris la nécessité de s’emparer de la question de la vie nocturne », explique ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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Vie nocturne : quel rôle pour le service public ?
Sommaire du dossier
- « La crise a mis en exergue le manque de services publics la nuit »
- « La nuit, c’est concilier droit à la fête et droit à la tranquillité »
- La nuit, les policiers municipaux et les médiateurs veillent
- Les solutions pour que la vie nocturne reste une fête
- Vie nocturne : un guide méthodologique pour penser une politique globale
- Vie nocturne : nuits blanches pour les politiques publiques
- Le Hangover café, un minibus qui sillonne la ville pour prévenir les excès de la nuit
Thèmes abordés