Quel est l’impact de la pandémie de Covid-19 sur la vie nocturne ?
Après les attentats de 2015, la vie nocturne s’était repliée sur l’espace privé. Avec le Covid, c’est l’espace public qui est apparu le plus sûr, le plus « safe ». La rue, les terrasses des bars, la plage sont devenus des espaces où l’on pouvait se retrouver le soir sans risquer trop de contaminations. Cela n’a pas été sans poser des problèmes de nuisances sonores, comme on l’a vu à Paris et dans de nombreuses villes, avec l’extension des terrasses.
La crise a aussi exposé le rôle de régulateur des établissements privés…
Oui, elle a révélé ce rôle des établissements privés, tout en mettant en exergue le manque de services publics la nuit ! On s’est aperçu que, depuis des années, on renvoyait largement la responsabilité du ...
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Vie nocturne : quel rôle pour le service public ?
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- « La crise a mis en exergue le manque de services publics la nuit »
- « La nuit, c’est concilier droit à la fête et droit à la tranquillité »
- La nuit, les policiers municipaux et les médiateurs veillent
- Les solutions pour que la vie nocturne reste une fête
- Vie nocturne : un guide méthodologique pour penser une politique globale
- Vie nocturne : nuits blanches pour les politiques publiques
- Le Hangover café, un minibus qui sillonne la ville pour prévenir les excès de la nuit
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