La crise du Covid-19 a révélé le retard de la Fonction publique dans la mise en place du télétravail et l’utilisation d’outils collaboratifs. Dans l’urgence, de nombreuses collectivités se sont tournées vers les solutions américaines Teams, Slack et autre Zoom. Pourtant des alternatives françaises existent.
Un outil adapté au fonctionnement des collectivités
C’est la proposition d’interStis, une start-up bourguignonne et parisienne qui a construit une solution collaborative avec des acteurs publics locaux. « En 2013, l’objectif était de proposer un outil de collaboratif de gestion de projets adaptés au fonctionnement des collectivités territoriales. À l’époque, nous étions en avance sur le sujet. Cela nous a laissé le temps de bâtir une solution sur-mesure pour les collectivités et de proposer aujourd’hui une alternative crédible aux outils prêt-à-porter américains » précise Thomas Balladur, Président d’interStis.
La plateforme interStis se distingue par un mode de fonctionnement qui s’inscrit dans l’organisation hiérarchique d’une collectivité, tout en favorisant la transversalité et le travail en mode projet.
Elle trouve de nombreux usages en collectivité. Par exemple, interStis sert tout aussi bien à centraliser les documents préparatoires au Conseil municipal, qu’à mener un projet de rénovation d’un groupe scolaire avec des partenaires extérieurs, à piloter le travail de concertation des communes pour le prochain PLUI ou encore à la préparation inter-service du projet de budget. Autant de cas d’usage où les outils américains, très orientés business, sont souvent inadaptés.
La question essentielle de la sécurité
La sécurité des données et la conformité au Règlement Général pour la Protection des Données (RGPD) sont des éléments essentiels pour les décideurs publics. Rappelons que le Cloud Act américain (2018) donne le droit aux agences de renseignement américaines d’obtenir des fournisseurs de services de Cloud des informations stockées sur leurs serveurs, que ces données proviennent des États-Unis ou d‘ailleurs. En clair, même hébergées en France les données confiées à Microsoft, Google ou Amazon sont à la disposition du Gouvernement américain. Les récents scandales prouvent que ce risque n’est pas théorique.
Pourtant peu de collectivités prennent en compte cet enjeu de souveraineté numérique au moment de choisir leurs solutions. InterStis se positionne comme une référence sur ce sujet. Ses services qui sont utilisés par l’État (RESANA) offrent un haut niveau de sécurité et un hébergement en France (Orange).
Simple et bien accompagné
Les outils numériques laissent certains agents et élus complètement démunis. Le risque est alors de les voir décrocher mettant en péril la démarche collective de travail collaboratif. Si la simplicité et l’intelligibilité de la solution sont un préalable, rien de durable ne se fait sans un accompagnement humain.
« L’accompagnement fait partie de l’expérience utilisateur » aime à répéter Aline Ranguin chargée du succès des clients chez interStis. La proximité de l’éditeur, sa capacité à se déplacer au sein de la collectivité pour former les futurs utilisateurs et un support humain, direct et personnalisé augmentent considérablement le taux d’adhérence des utilisateurs à l’outil.
La qualité de cet accompagnement est mise en avant par interStis pour expliquer que 95 % des clients se réengagent après la première année d’utilisation.
Une solution économique et responsable
En 2020 la part du numérique dans la consommation mondiale d’énergie atteindra 3,3 %. Cette part double tous les huit ans. L’utilisation des plateformes collaboratives plutôt que l’email fait partie des préconisations permettant de réduire l’impact du numérique sur la consommation d’énergie (Rapport « Pour une sobriété numérique » The Shift Project)
En s’appuyant sur les règles de calcul de l’ADEME, interStis mesure le C02 économisé par chacun de ses clients. Cet exemple illustre la démarche globale d’éco-conception dans laquelle s’est engagé l’éditeur. Une approche novatrice dans une industrie plutôt centrée sur la recherche de la performance pure.
La sobriété, interStis la pratique aussi sur les prix de son service. Plutôt qu’une facturation classique à l’utilisateur, interStis propose aux collectivités territoriales une tarification forfaitaire qui dépend de la strate (Commune, EPCI, département, Région) et la taille de la population sur leur territoire. Juste et raisonnable, le prix est prévisible quel que soit le nombre d’utilisateurs.
Avant de s’engager, le mieux reste de tester. La solution est utilisable gratuitement et sans limite de temps pour deux projets. L’occasion de vérifier concrètement les promesses de l’éditeur.
Contenu proposé par INTERTIS