C’est en tout cas ce qu’a défendu son président, Pierre Bédier (UMP), lors du vote du budget départemental le 18 décembre 2008. En hausse de 6% par rapport à l’année dernière, le budget s’établit à 1 207,7 millions d’euros. Les dépenses de fonctionnement atteignent 809,2 millions d’euros, en hausse de 7%.
L’action sociale constitue plus de 54% de ces dépenses totales de fonctionnement. Les dépenses d’investissements sont de 385,9 millions d’euros, en hausse de 2,3%.
Quant aux recettes d’investissement, elles s’établissent à 343 millions (+7,7%), et celles de fonctionnement à 852 millions (+ 4,5%). Sur le total des recettes, les recettes fiscales représentent 55% et les dotations de l’Etat s’élèvent à 15 millions d’euros.
Le département se targue d’afficher «la pression fiscale la plus basse de tous les départements franciliens» avec une fiscalité stable depuis sept ans. Depuis 2004, les Yvelines n’ont par ailleurs plus d’emprunt à rembourser au titre des intérêts de la dette.
Thèmes abordés