Le tribunal correctionnel de Paris a estimé, jeudi 21 septembre, que la policière municipale, Sandra Bertin avait pu « en toute bonne foi », et en raison notamment de la « fatigue physique et nerveuse » liée à l’attentat du 14 juillet 2016 à Nice, « interpréter de manière erronée la demande » du ministère de l’Intérieur.
Lors de l’audience du 7 juillet dernier, la procureure avait requis la relaxe estimant néanmoins que la cheffe du Centre de supervision urbain (CSU) de Nice avait « fantasmé » des pressions du ministère de l’Intérieur le soir de l’attentat. Sandra Bertin n’avait « pas d’intention maligne » en affirmant avoir reçu des pressions de la ...
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