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Ligne à grande vitesse

Les élus finistériens craignent la remise en cause de la LGV jusqu’à Brest

Publié le 12/10/2010 • Par Stéphanie Stoll • dans : Régions

Lors de son assemblée générale, le 1er octobre 2010 à Brest, l’association des maires et présidents d’établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) du Finistère a fait part de son inquiétude concernant la remise en cause de la ligne à grande vitesse Paris-Brest, figurant au contrat de plan Etat-région de 2007.

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Le 28 septembre, au palais du Luxembourg, les sénateurs finistériens, Philippe Paul et François Marc, avaient fait remarquer à Benoist Apparu que l’avant-projet du schéma national des transports publié le 12 juillet 2010 laissait présager « une possible inversion des priorités ferroviaires dans l’ouest, qui favoriserait la ligne ferrée Nantes-Rennes, composante du futur aéroport Notre-Dame-des-Landes, au détriment des liaisons Quimper/Brest-Rennes-Paris. Cette inversion, si elle se confirmait, contribuerait à accentuer l’enclavement géographique du Finistère».

Les élus finistériens décèlent un changement de priorité

« La modernisation des lignes et l’optimisation de l’exploitation permettront au grand Ouest breton de bénéficier de la diffusion de l’effet de la grande vitesse qui sera suscité par la réalisation de la ligne Bretagne-Pays de la Loire», a répondu Benoît Apparu, secrétaire d’Etat chargé du logement, remplaçant son collègue chargé des transports.
Les élus finistériens ont décelé dans cette réponse un changement de priorité, qui serait désormais favorable aux aménagements du projet d’aéroport international de Notre-Dame-des-Landes et non plus à la LGV Paris-Brest.

Les uns après les autres, les communes et EPCI finistériens votent des motions de soutien à la ligne à grande vitesse Paris-Brest ; c’est déjà le cas de Quimper Communauté et de la communauté de communes du pays de Landerneau-Daoulas.

Le conseil régional, qui finance 640 millions d’euros sur 3 milliards prévus pour la LGV, se veut rassurant : «L’avancement du dossier de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes inquiète les élus finistériens qui craignent que l’un se fasse au détriment de l’autre, explique-t-on.
Or, les deux seront menés de façon concomitante. D’ailleurs, depuis la semaine dernière, le TGV peut rouler à 220 km/h sur une nouvelle section de 15 km, entre Malansac et Questembert dans le Morbihan». 

Références

Schéma national des transports et lignes à grande vitesse Paris-Rennes-Quimper/Brest : Compte-rendu des débats au Sénat du 28 septembre 2010

Motion de l'association des maires du Finistère du 1er octobre 2010

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Les élus finistériens craignent la remise en cause de la LGV jusqu’à Brest

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Pierre Le Foll

13/10/2010 03h52

Le CESER (Conseil économique, social et environnemental) de Bretagne dans son autosaisine sur le SNIT et dans une motion adoptés le 11 septembre en session plénière souligne qu’il est d’intérêt national, pour l’achèvement du désenclavement au bénéfice de l’ensemble des territoires de Bretagne, de mener à bien l’accélération des communications ferroviaires Rennes Brest et Rennes Quimper, qui ne doivent pas être mises en concurrence avec la desserte également indispensable depuis Rennes et le Sud Bretagne du futur aéroport de ND des Landes. Ces deux textes adoptés par l’assemblée consultative régionale sont publics et accessibles sur
www.ceser-bretagne.fr

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