Dépenses
Le budget affiche ainsi une stabilité des dépenses de fonctionnement (154,1 millions d’euros soit +0,4%). Les charges de personnel (90,3 millions d’euros) ne progresseront que de 1%, un peu moins que les charges à caractère général (33,5 millions d’euros, +1,5%).
Cette maîtrise des charges permet de dégager des « marges de manœuvre » pour l’investissement qui atteindra 48,4 millions en 2010 contre 47 millions d’euros l’an, passé.
Avec ces crédits, la ville va d’abord investir dans la voirie (7,3 millions pour accompagner l’arrivée du tram), les grands projets d’aménagements du centre ville (8 millions) et les écoles (3 millions). La ville va également accroître son engagement en faveur de structures comme le CCAS (8,5 millions, +3,1%), les associations sociales (9 millions, +5,1%), le mouvement sportif (3,1 millions, +10%), la culture (+4,6%).
Recettes
Les recettes de fonctionnement (174,4 millions) ne connaîtront qu’une légère hausse de 0,5% avec 71,8 millions de fiscalité directe (+0.8% pour la TH et +1.5% pour le foncier bâti).
À l’inverse, les dotations et compensations de l’Etat sont orientées à la baisse (39,6 millions soit – 1,5%) alors que les droits de mutations se maintiendront à 2,3 millions (contre 5 millions en 2007). Malgré tout, la ville maintiendra ses taux de fiscalité et son niveau d’autofinancement à 20 millions, au même niveau que ces quatre dernières années.
Emprunts et dettes
Malgré un emprunt stable à 12 millions d’euros la dette atteindra 99,5 millions d’euros contre 97,4 millions en 2009 avec une capacité de désendettement inférieure à 4 ans.
Thèmes abordés
Régions