La répartition de la DGF tant communale qu’intercommunale serait donc dorénavant conditionnée en partie par un coefficient de mutualisation qui risque de forcer nombre de territoires à prendre une voie qu’ils n’avaient pas prévu d’emprunter.
Il est définitivement surprenant que la mutualisation EPCI-communes soit devenue l’alpha et l’omega de la gestion locale alors que sa mise en œuvre depuis une dizaine d’années n’a rien démontré de tangible…
Contraindre le bloc communal à mutualiser ses services c’est donc postuler que la mutualisation est une très bonne solution… ce qui n’est, à ce jour, toujours pas démontré.
La mutualisation n’a rien d’évident
La mutualisation exige des pré-requis qui ne sont pas en place dans nombre de territoires, porteurs de non-dits et de malentendus, en particulier ...
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