Quel regard portez-vous sur plan gouvernemental, sécurisation de l’absence de TEG d’une part, fonds d’aide d’autre part ?
Nous affirmions depuis le 8 février que la loi de validation rétroactive était inéluctable. C’est une double nécessité à la fois pour clore l’insécurité générale qui en découle pour beaucoup de banques et beaucoup de clientèles (risque systémique) et pour l’impact particulier sur la SFIL (10 milliards d’euros) qui bloquait la mise en œuvre du plan décidé en novembre 2012 lors de la cession de DMA par Dexia à l’Etat Français.
Le poids politique des élus portant le sujet a empêché le gouvernement de proposer cette loi sans contrepartie. La conséquence c’est un dispositif d’aide en contrepartie négocié avec les élus dont on ne connaît finalement ...
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