C’est plus vrai pour les meublés saisonniers (cités à 53 %) que pour les gîtes et chambres d’hôtes, cités à 23 et 22 %. En conséquence, 55 % des communes déclarent une baisse ou une stagnation entre 2010 et 2011.
L’absence de moyens de contrôle (76 %), le problème de recensement (69 %) et la complexité du recouvrement (49 %) représentent les problèmes jugés « majeurs » par les communes interrogées.
Au regard de ces difficultés, 58 % des communes interrogées considèrent qu’il est nécessaire de réformer la taxe de séjour. Parmi les réformes demandées, 58 % souhaitent que les tarifs soient réévalués, la dernière revalorisation datant de 2001.
44 % des communes voudraient également que la réforme porte sur l’assiette, considérée comme trop restrictive : « Certains ont émis l’idée d’une ...
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