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Finances publiques

L’instauration d’un « jour de carence » a-t-elle généré des économies ?

Publié le 15/04/2013 • Par Martine Doriac • dans : A la une, A la une emploi, A la Une RH, Actu Emploi, Actu expert santé social, France, Toute l'actu RH

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La rémunération du premier jour de maladie « ordinaire » a été supprimée par la loi de finances du 28 décembre 2011 (art. 105), excepté pour les congés de longue maladie, de longue durée et les accidents de service. Un « jour de carence » perçu par les syndicats comme une atteinte au pouvoir d’achat.

L’abrogation de cette mesure phare de la fin du gouvernement « Fillon » a été annoncée, le 20 février, par la ministre de la Fonction publique, mesure qu’elle jugeait « injuste, inutile et inefficace ».
Gilles Carrez, président de la commission des finances de l’Assemblée nationale, considère cette abrogation comme « une mesure clientéliste et révélatrice de la frénésie dépensière du gouvernement ».

« Il revient à l’exécutif de chaque collectivité de décider ce qu’il doit faire », a indiqué ...

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L’instauration d’un « jour de carence » a-t-elle généré des économies ?

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htan

15/04/2013 08h24

Bonjour,
Déçue que cette mesure soit abrogée.
L’absentĂ©isme commençait Ă  baisser, preuve que certaines absences sont abusives.

mcr

15/04/2013 09h36

Bonjour,
Il faut prĂ©ciser aussi qu’il y a des villes, qui en plus du jour de carence qui est retirĂ© du salaire, retirent de la prime de fin d’annĂ©e 2% par jour d’absence Ă  partir du 7ème jour. C’est la double peine.

Bouchage

16/04/2013 07h33

« Dans ce contexte, les employeurs publics se voyaient dĂ©jĂ  contraints, si le jour de carence avait Ă©tĂ© maintenu, de trouver des solutions en termes d’assurance ».
Pourquoi seraient-ils contraints ? Le salariĂ© peut chercher une assurance. Pourquoi serait-elle Ă  la charge de l’employeur ? Pour s’alligner sur 64 % des salariĂ©s du privĂ© qui ont non pas 1 mais 3 jours ?
Il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’argent public.

sergiolebufalo

16/04/2013 10h05

Bon article qui résume parfaitement la situation, très contrastée, entre les trois versants de la fonction publique.
Travaillant dans la territoriale, agent de catĂ©gorie C, je ne peux que remarquer la situation difficile d’agents qui perçoivent de faibles salaires (surtout dans les collectivitĂ©s, nombreuses, oĂą il n’existe pas de rĂ©gime indemnitaire) et qui sont tentĂ©s de venir travailler malades, pour ne pas perdre 50€ qui leur feront dĂ©faut Ă  la fin du mois.
Mesure qui pénalise indistinctement ceux qui abusent du système et la grande majorité qui respecte une certaine éthique vis à vis du service public et des collègues de travail.
Disparition d’une mesure injuste et inefficace, tant mieux.

Yarrick

16/04/2013 10h13

Comme d’habitude, une mesure qui tapait indisctintement entre agents malades et profiteurs du système.

On prĂ©fère taper sur tout le monde plutĂ´t qu’amĂ©liorer les contrĂ´les..

Par ailleurs, prĂ©cariser les agents du service public n’est pas la solution miracle au problème du dĂ©ficit public.

fleurdemai

16/04/2013 11h26

Bonjour,
Ayant vĂ©cu ce problème je peux tĂ©moigner que la maladie (en l’occurence une hernie discale) entraine parfois de lourds frais pour se soigner. Perdre un jour de salaire s’est Ă©norme!!!!!! Pour quelques abus pĂ©naliser le malade je trouve ça horrible et injuste ! il devrait y avoir d’autres moyens de faire des Ă©conomies plus justes. De plus les primes annuelles sont dĂ©jĂ  diminuer au prorata de l’absence .
je confirme ce jour de carence est terriblement injuste et antisocial. Pour moi il a crĂ©e un stress Ă©norme d’autant que je voulais reprendre sans savoir si je tiendrai le coup! et qu’une autre absence aurait vu une 2ème journĂ©e enlevĂ©e. J’invite le gouvernement Ă  trouver une autre solution et ne pas pĂ©naliser le salariĂ©.
Merci

François

16/04/2013 03h56

Depuis le passage aux 35 heures une bonne partie des agents a 50 jours de congĂ©s (25 congĂ©s annuels, 2 jours de fractionnement, et 23 jours d’ARTT).
Prendre un jour de congĂ© pour un petit arrĂŞt, c’est possible. Cela permet d’Ă©viter le stress.

marjolaine

16/04/2013 07h41

qui c’ est celui lĂ  qui a 25 ARTT??
donc 52 jours de congĂ©s par an, j’avoue qu’on peut se permettre d’ĂŞtre indisposĂ© 1 jour et de poser des congĂ©s plutĂ´t que maladie et de rester tranquille chez soi !!! ma foi, nous ne sommes pas tous Ă©gaux dans la fonction publique! donc pour ma part petite travailleuse « pauvre » de la fonction publique (en hĂ´pital publique) je perds 1 jour si je suis malade, et c’est grave pour moi…et puisque tout le monde autour de moi vient travailler mĂŞme malade pour Ă©viter de perdre un jour alors je vous laisse imaginer l’Ă©tat des troupes dans ces cas lĂ ! quelle prĂ©vention!! intĂ©ressant tout ça! je me demande combien ils touchent de salaire ceux qui pondent des idĂ©es aussi nazes et combien de congĂ©s et de droit maladie ont ils??…savez vous que dans les pays nordiques telle que la Norvège par exemple, les femmes ont droit Ă  un certain nombre de jours lorsqu’elles sont indisposĂ©es …! c’est une loi et il y en a d’autres!
je pense qu’en France tout est bon pour anĂ©antir le travailleur (surtout le petit!) et qu’il y en a marre de ce système de rouleau compresseur!!
nous voulons travailler dans la paix, la confiance, sans stress qui ne sert Ă  rien (qu’Ă  nous rendre malade) en conservant nos droits, voir en les amĂ©liorant mais non en les massacrant!
Donc, il me parait Ă©vident qu’il faut arrĂŞter de compter et de ne penser qu’aux chiffres mais voir les salariĂ©s comme des personnes et non comme des chiffres, statistiques, taux de rentabilitĂ©…et de performance!

François

17/04/2013 05h23

Qui c’est celui lĂ  qui a 23 jours d’ARTT, ce sont tous ceux qui sont passĂ©s de 39 heures Ă  35 heures. C’est mathĂ©matique 52 semaines par an moins 5 semaines de congĂ©s payĂ©s cela fait 47 semaines Ă  4 h par semaine cela fait 23,5 jours de 8 heures. Si vous ĂŞtes Ă  35 heures, dans ce cas vous n’avez pas d’ARTT.
La moyenne d’absentĂ©isme relevĂ© dans l’article est de 23,6 jours d’absence pour maladie par an. C’est un triste constat. Cela veut dire que sur un hopital de 1000 salariĂ©s, il y en a plus de 64 absents toute l’annĂ©e.
Notre sociĂ©tĂ© n’est pas la plus malheureuse, en terme de niveau de vie. Au lieu de toujours regarder ceux qui ont plus et se lamenter sur notre sort, il faut faire en sorte de conserver notre modèle. Si nous ne =faisons rien, ce sera le plus sur moyen pour que le système s’Ă©croi=ule et que nous rĂ©gressions sĂ©vèrement en protection sociale. Nos voisins espagnols commencent Ă  souffrir. Tenons-nous les coudes, privĂ©s et publics, pour soutenir notre système, et acceptons les petits sacrifices, pour Ă©viter de subir de gros sacrifices demain.

bazane

17/04/2013 03h34

La comparaison avec les salariĂ©s du privĂ© nĂ©glige le fait que la prise en charge par l’employeur se fait sur ses ressources propres et non sur l’argent public.
De ce fait l’absence de journĂ©es de carence des agents du public est financĂ©e par les contribuables dont certains peuvent eux mĂŞmes ĂŞtre soumis aux 3 jours de carence.

Fabrice

16/05/2013 05h06

Honnètement, les commentaires sont assez surrĂ©alistes… Dans ma boite on est aux 3 jours de carences et on vient taper dans nos caisses (celles du privĂ©, vu que les caisses publiques sont dĂ©ficitaires) pour vous payer vos jours. 60 millions d’Ă©conomie, c’est juste le prix de 10 groupes scolaires HQE pour 200 enfants….

« Outre son impopularitĂ©, son coĂ»t social et en termes d’image est Ă©levĂ© car il a pĂ©nalisĂ© indistinctement resquilleurs et agents vraiment malades »

On n’en a rien Ă  faire de son impopularitĂ©, c’est la fonction publique, pas un jeu tĂ©lĂ©… L’Ă©tat français a une dette officielle estimĂ©e Ă  environ 1900 millliards d’Euro, une dette sociale dissimulĂ©e (engagement des diffĂ©rentes caisses, retraites, chĂ´mage, aides etc etc) estimĂ©e selon le rapport PĂ©berau de 2005, Ă  environ 900 Milliards, uniquement pour les retraites des fonctionnaires dont la moitiĂ© n’Ă©tait pas financĂ©e.

DĂ©cidĂ©ment, Ă  passer leur temps Ă  geindre, les Français ont fini par avoir les politiciens navrant qu’ils mĂ©ritent…

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