Difficile d’être précis tant l’information reste opaque, mais on estime à près d’une centaine le nombre de collectivités locales ayant engagé une action en justice contre leur banque. Près des trois quarts concerneraient Dexia.
Cette mobilisation apparaît bien faible au regard des quelque 5 000 collectivités ayant souscrit des emprunts toxiques. Un spécialiste constate que « les élus locaux de gauche pouvaient plus facilement poursuivre leur banque et notamment Dexia sous un gouvernement de droite ».
Leur situation serait beaucoup plus délicate depuis l’élection de François Hollande d’autant qu’une grande partie des avoirs de Dexia appartiennent désormais à l’Etat, via la SFIL (Société de financement local).
Un expert souligne de son côté « inciter ses clients à assigner », mais que ...
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