Certes, certains acteurs considèrent que les collectivités locales ayant succombé aux sirènes des emprunts à risques doivent en assumer les conséquences. Sauf qu’en ce qui concerne les produits souscrits auprès de Dexia (60 % des cas), la situation semble beaucoup plus délicate, voire complexe, qu’avec les autres banques.
Pour preuve, les nombreux échecs des renégociations des prêts avec Dexia alors que la plupart le sont déjà avec les autres institutions bancaires. Le rachat par l’Etat de 75 % du capital de DMA (Dexia municipal agency) dans lesquels figurent les 10 milliards d’encours de dettes toxiques ne fait qu’ajouter de la suspicion sur la façon dont le gouvernement compte régler cet épineux problème.
Du coup il n’est pas étonnant que les élus et responsables des collectivités ...
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