C’est une lapalissade : il ne peut y avoir de partenariat sans confiance réciproque entre ses membres. Mais comment y parvenir ? Selon les coordonnateurs des conseils locaux de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD), le travail se joue en amont de la concertation. « Il est indispensable que chacun apprenne à connaître le mode de fonctionnement de l’autre, souligne Mélanie David, directrice de la prévention et de la médiation à Lille . Dès lors, les partenaires savent ce que chaque membre peut apporter pour résoudre le cas problématique d’un adolescent ou d’une famille. Cette connaissance réciproque joue un rôle moteur, car elle crée un sentiment collectif. » Même logique pour Christelle Jousselin-Lainé, en poste au syndicat d’agglomération nouvelle de Sénart ...
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Il faut sauver le partenariat local de sécurité !
Sommaire du dossier
- La coproduction de sécurité face à ses vieux démons
- Des bonnes pratiques fondées sur la détermination
- Comment Mulhouse et Vitrolles ont créé les conditions d’un partenariat efficace
- « Les services déconcentrés doivent se mobiliser »