Durant la première partie du mandat 2008-2014, les communes ont amélioré leur situation financière : cela n’écrit pas pour autant l’avenir, s’agissant des collectivités qui portent avant tout des missions donc des dépenses de personnel et la majeure partie de l’investissement public local.
Sur la base des comptes administratifs prévisionnels, il apparait que la situation financière des communes va se dégrader en seconde partie de mandat. Dès 2012, sous le phénomène conjugué, d’une part, de la baisse des droits de mutation et du recul inédit en volume des dotations, d’autre part par la progression des dépenses de fonctionnement.
L’atonie des recettes de fonctionnement représente dorénavant la première adversité du bloc communal qui ne dispose d’autres marges de manœuvre que la hausse des ...
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