La secrétaire d’Etat à l’Environnement, Nathalie Kosciusko-Morizet, a confirmé, le 23 janvier, l’idée d’une « part fixe et d’une part variable » pour les taxes sur le traitement et l’enlèvement des ordures ménagères. « Tout le monde reconnaît maintenant la nécessité d’avoir une part incitative, quel que soit le mode de prélèvement, taxe ou redevance, il faut trouver un moyen d’avoir une part fixe et une part variable, c’est important », a déclaré Nathalie Kosciusko-Morizet, lors d’un colloque organisé par l’Observatoire régional des déchets d’Ile-de-France (Ordif). La secrétaire d’Etat a souligné qu’il s’agissait de « perspectives » devant déboucher sur des « mesures au printemps », qui n’ont pas été « complètement arbitrées ».
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