Les acteurs publics prisonniers de taux d’intérêts « toxiques » s’estiment aujourd’hui encore dans l’impasse : dans la majorité des cas, ils ne sont pas parvenus à ce que les banques prennent en charge une partie du risque de ces emprunts qu’ils regrettent aujourd’hui d’avoir contractés.
Le cas de la Seine-Saint-Denis – Claude Bartolone, président (PS) du conseil général de Seine-Saint-Denis et président de la commission d’enquête parlementaire sur les emprunts toxiques, a expliqué, le 9 mars, comment il avait « découvert » les produits structurés : « Cette drôle d’aventure a commencé il y a 4 ans quand je suis devenu président du conseil général de Seine-Saint-Denis. J’ai demandé un audit financier à Michel Klopfer ...
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