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Energie

Toujours pas de compromis sur la poursuite de la libéralisation du marché de l’énergie

Publié le 29/02/2008 • Par Euractiv.fr • dans : Europe

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Pas de compromis sur la manière de poursuivre la libéralisation du marché européen de l’énergie. La proposition de la Commission de démanteler les opérateurs historiques, tels qu’EDF et GDF, ne rencontre pas l’adhésion de la majorité des Etats membre. Dans le même temps, l’Allemand E.ON annonce sa volonté de céder son gestionnaire de transport.
Faut-il démanteler les opérateurs historiques d’énergie, tel qu’EDF en France, par exemple, pour achever la libéralisation du marché européen de l’énergie? Encore une fois, les ministres de l’énergie des 27 n’ont pas trouvé de compromis sur cette question, lors de leur réunion, jeudi 28 février, à Bruxelles.
Afin d’achever l’intégration du marché européen de l’énergie, la Commission européenne a notamment proposé, dans la série de directives présentée le 19 septembre dernier, d’opérer une séparation patrimoniale des entreprises énergétiques verticalement intégrées pour renforcer la concurrence et donc faire diminuer les prix.
Il s’agit de faire en sorte que ces entreprises se défassent de leurs actifs de distribution d’électricité et de stockage du gaz, dans le but de séparer ces activités de la production d’énergie.
Appelée dans le jargon bruxellois l’ownership unbundling, cette proposition fait, depuis, couler beaucoup d’encres.
Opposés à une telle mesure, huit Etats membres, au premier rang desquels la France et l’Allemagne, ont proposé, en janvier, une «troisième voie».
Cette alternative vise à transformer les entreprises en société anonyme au sein desquelles seraient créés une gestion et un conseil d’administration séparés pour le GRT, afin de limiter clairement l’influence de la société mère.
La Commission a tout d’abord accueillie fraîchement ces mesures, avant de laisser entendre qu’elle accepterait cette « troisième voie » pour la libéralisation du marché de l’énergie, à condition que la proposition présente certaines garanties, notamment s’agissant des décisions d’investissement des filiales de transport de l’électricité et du gaz.
Les oppositions entre les différents Etats membres n’ont cependant pas été surmontées hier et le groupe des huit n’a pas obtenu le soutien de ses partenaires sur son projet. « La discussion fait apparaître qu’il y a des divergences de vues par rapport aux propositions de la Commission », a indiqué le représentant de la présidence slovène de l’UE, le ministre de l’économie, Andrej Vizjak, selon lequel les discussions ont été « animées ».
Côté français, le son de cloche est toutefois un peu différent. « On a gagné une bataille psychologique », a déclaré le ministre de l’écologie, Jean-Louis Borloo, selon lequel la menace de l’ownership unbundling aurait été écartée.
E.ON prend Berlin à contre-pied
L’annonce par le géant énergétique allemand E.ON de la cession future de son réseau d’électricité, alors que Berlin milite depuis le début des négociations à Bruxelles contre le démantèlement de ses énergéticiens, a cependant certainement rendu les négociations pus difficiles côté allemand.
Selon un article publié par le Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ), le 28 février, E.ON serait actuellement en négociation avec la chancelière allemande, Angela Merkel, à ce sujet. La rentabilité serait la raison invoquée par le groupe. Le PDG du groupe, Wulf Bernotat, « n’a jamais fait mystère qu’il ne se battrait pas à tout prix pour le GRT s’il n’était plus possible pour l’entreprise d’en tirer suffisamment de bénéfices », indique le FAZ.
Les principaux concurrents d’E.ON n’auraient pas de projets concrets de ce type en vue, toujours selon le quotidien.
Le débat devrait se poursuivre lors du Conseil européen des 13 et 14 mars prochains, tandis que le projet sera examiné en session plénière par le Parlement en juin prochain.

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